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Texte Libre

22 octobre 2014 3 22 /10 /octobre /2014 20:59

Ondes GSM

 

Note de Benji: Voilà plusieurs années, j’ai découvert l’association Robin des toits qui luttait contre les antennes GSM et les ondes en général, jusqu’aux ondes wifi. Pour simplifier au maximum, notre organisme est conçu et habitué pour vivre en accord sur cette planète, avec les ondes naturelles que celle-ci véhicule, il suffit de partir du principe que chaque onde artificielle peut avoir un impact sur nous, que cela soit des courants magnétiques, comme les ondes GSM, les ondes wifi, etc…

 

Bien sur, il s’agit plus d’un secret de Polichinelle, et lorsque des « affaires » surgissent comme des cas de tumeurs au cerveau sur plusieurs enfants dont l’école était à proximité d’une antenne GSM, les médias ont dû en parler, mais l’oubli arrive vite, nous passons à autre chose, et le problème continue…

 

Je ne peux donc que relayer cet article traduit par Anne Nikka quand à l’ex-directeur de la technologie de chez Nokia qui aurait été victime des téléphones portables… Et quand le téléphone ne représente pas un danger pour nos, il en est un pour notre vie privée: Opposé à la nouvelle politique de sécurité de Google et Apple, le directeur du FBI James Comey réclame une nouvelle loi permettant aux services de renseignements d’accéder aux données cryptées des téléphones (Source: Numerama).

 

par Anne Nikka

Ceci est la traduction d’un  article publié dans le journal finlandais Satakunnan kansa.. [Traduction anglaise par Henrik Eiriksson, et traduction française (source: finlandais et anglais) par Marie-Gabrielle.]


Matti Niemelä, ex-Directeur de Technologie chez Nokia, a participé au développement des premiers téléphones portables dans le monde, mais lui-même est tombé gravement malade à cause de leurs rayonnements.

En outre, on lui a diagnostiqué une sclérose en plaques. Certaines études indiquent que les rayonnements peuvent accroître le risque de développement de cette maladie.

 

Pour Matti Niemelä, établi à Tampere, 44 ans, la vie était comme dans un film, lorsque jeune homme, il a été recruté et formé par Nokia en 1997. En presque dix ans, ce jeune surdoué est devenu le Directeur technologique de Nokia, et a participé au développement des premiers téléphones portables dans le monde, des clés USB et des connections WLAN / WIFI.

En 2007, la santé de Niemelä s’étant détériorée, sa carrière a pris fin brutalement. Aujourd’hui, cet homme n’est capable de

de se déplacer qu’avec l’aide d’un déambulateur (ou marchette). Niemelä refuse d’utiliser un fauteuil roulant.

– « L’ironie dans tout ça, c’est que je ne peux plus utiliser les appareils que j’ai développé », dit Niemelä en souriant.

 

Niemelä est l’un des malheureux ayant présenté de graves symptômes dûs aux rayonnements.

– « Je me déplaçais partout dans le monde avec un transmetteur à la main, l’exposition aux rayonnements était très forte du matin au soir, et même la nuit. Peu de gens en ont eu une telle dose. », dit Niemelä.

Les premiers symptômes s’étaient déjà manifestés au terme de sa première année de travail chez Nokia.

– « Je jouais alors au badminton, et je n’arrivais plus à servir la balle, bien que j’y jouais depuis un moment. »

 

Au début, Niemelä n’osa pas aller chez le médecin, principalement à cause de la peur du cancer du cerveau qui était déjà présente.

 

Les symptômes ont empiré d’année en année.

– « Je ne pouvais pas parler sur le téléphone portable tout en marchant, parce que cela me causait des problèmes de coordination. »

Plus le rayonnement était intense, plus il avait des troubles de l’élocution.

– « De plus, mon oreille était chaude lorsque je parlais longtemps. J’ai insisté jusqu’au jour où je n’ai plus senti ma peau. Alors il a fallu aller chez le médecin. », explique Niemelä.

En 2001, des images d’IRM et des échantillons de liquide céphalo-rachidien ont permis de révéler la triste vérité: la sclérose en plaques.

– « Je fus même un peu soulagé, car on peut vivre avec la sclérose en plaques, mais pas avec le cancer du cerveau. »

 

D’après Niemelä, les membres du personnel médical ne souhaitent pas se prononcer sur le fait que la sclérose en plaques ait été déclenchée par le téléphone portable. Les résultats d’études préliminaires montrent cependant que les rayonnements augmentent le risque d’apparition de cette maladie.

 

– « Je suis un profane, pas un médecin. Il ya certainement plusieurs raisons à l’émergence de la sclérose en plaques, et pas seulement les radiations du téléphone cellulaire. Pourtant, les radiations multiplient bel et bien les symptômes de ma maladie. En outre, les symptômes de la sclérose en plaques peuvent être facilement confondus avec les symptômes de radiation du téléphone portable. », explique Niemelä.

Durant l’interview, Niemelä a de plus en plus de mal à articuler. Il y a un panneau dans le couloir qui demande au public d’éteindre son téléphone. Une petite dose de radiation, c’est déjà trop.

– « Je ne suis plus en mesure d’aller au cinéma ou de rester très longtemps dans les espaces publics, avec plein de rayonnements. Je ne suis pas sorti depuis longtemps », dit Niemelä, la quarantaine, qui doit désormais accepter que les murs de sa maison sont ceux d’une prison.

 

Bien que Niemelä y ait laissé sa santé, sa carrière, et plus récemment son mariage, il n’en rend personne responsable.

– « Je n’ai pas d’amertume, c’était mon choix de travailler chez Nokia. »

Il ne veut pas non plus effrayer trop de monde avec les dangers du téléphone portable.

– « Une personne en bonne santé peut utiliser un téléphone portable de façon raisonnable. »

Niemelä admet que de rendre son histoire publique comporte un gros risque.

– « J’ai peur d’en parler en public, parce que je ne veux pas être traité de fou. »

Niemelä explique que chez Nokia, le sujet de la radiation des téléphones cellulaires a toujours été un tabou permanent.

– « On n’était pas autorisé à aborder ce sujet au sein de l’entreprise. Pourtant, parmi le personnel, il a été spéculé que les rayonnements pouvaient faire des dégâts. Cependant, personne n’a osé en parler, de peur de se faire renvoyer. »

Niemelä dit avoir abordé la question pour la première fois avec le médecin en 2006.

– « Le médecin m’a dit qu’il avait plusieurs patients qui souffraient des mêmes symptômes que moi », confie Niemelä.

Niemelä est particulièrement inquiet pour les enfants et l’utilisation qu’ils font du téléphone portable, car la distance entre l’appareil et l’oreille ou la tête n’est pas du tout respectée.

– « Ces choses ont été mises sous silence pendant trop longtemps. J’espère qu’à l’avenir, il sera possible de parler sans crainte et ouvertement de ces symptômes. »

Le fabricant de téléphones portables Nokia et l’actuel directeur de la communication de Microsoft Tom Kuuppelomäki assurent que tous les produits répondent aux exigences et normes de santé internationales.

– « La sécurité des produits est d’une importance capitale tant pour Nokia que pour Microsoft. »

 

Avec tous les employés de chez Nokia ayant utilisé des portables au cours des (deux) dernières décennies, et si les radiations étaient à l’origine des symptômes, cela ne serait-il pas déjà une évidence?

– « L’Organisation Mondiale de la Santé a étudié un certain nombre de rapports faits durant les deux dernières décennies, afin de déterminer si les téléphones portables posent ou non un risque potentiel pour la santé. »

Kuuppelomäki insiste pour dire qu’à ce jour, les études n’ont pas démontré que l’utilisation du téléphone portable ait des effets néfastes sur la santé.

Quel genre d’études sur les rayonnements Nokia a-t-il fait et mis en oeuvre depuis la fin des années 1980?

– « Nokia et Microsoft participent maintenant au financement de la recherche MMF (Mobile Manufacturers Forum). »

Essentiellemnent en collaboration avec des organisations gouvernementales et d’autres représentants de l’industrie, les projets financés et programmes de recherche peuvent être consultés sur le site Web du MMF.

– « Nous pensons qu’une recherche neutre produira une meilleure information pour le consommateur en matière de sécurité des appareils. »

Comment les effets sur la santé seront-il étudiés à l’avenir?

– L’OMS a recommandé que soient faites des recherches plus poussées sur les champs électromagnétiques, afin de permettre une évaluation approfondie des risques.

Sources: Betweenrockandhardplace.wordpress.com


Pour les liens vers les textes de langue finnoise, voir: Betweenrockandhardplace.wordpress.com

Traduction: Anne Nikka

 

 

Rédigé par David Jarry - Webmaster

 

Diffusé par: http://www.2012un-nouveau-paradigme.com/2014/10/l-ex-directeur-de-technologie-chez-nokia-le-telephone-portable-m-a-detruit-la-sante.html

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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 22:40

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Dissimulation

CNN révèle la fraude du CDC: ils ont dissimulé au public 340% de risque d’autisme lié aux vaccins !

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Le lanceur d’alerte du CDC, le Dr William Thompson a publié une déclaration officielle confirmant que l’étude originale avait montré un lien entre le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et l’autisme, plus spécialement chez les enfants afro-américains, et que le CDC en avait caché les résultats.

Un éminent chercheur aux Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), le Dr William Thompson admet qu’il a joué un rôle clé en aidant à faire apparaître au grand jour la manipulation des données par le CDC. Cette fraude a consisté à dissimuler une incidence plus élevée de l’autisme due au vaccin ROR chez les garçons afro-américains. Le lanceur d’alerte, le Dr William Thompson a avoué les faits après que le Dr Brian Hooker ait réclamé et obtenu, en vertu de la Loi sur la Liberté de l’Information (Freedom of Information Act ou FOIA), les données originales d’une étude portant sur l’autisme, avec l’aide du député américain Darrell Issa, président de la Chambre de surveillance et de la réforme du gouvernement. Les documents du CDC, ainsi que les discussions avec le lanceur d’alerte révèlent une manipulation généralisée des données scientifiques, ainsi qu’une pression (du haut vers le bas)  sur le scientifique du CDC pour supprimer tout lien de causalité entre le vaccin ROR et le diagnostic ultérieur d’autisme, en particulier dans un groupe d’hommes afro-américains qui avaient reçu leur vaccin « à temps » en conformité avec le calendrier recommandé par le CDC.

Les documents reçus du CDC montrent qu’en 2003, on a découvert comme étant lié au vaccin ROR un risque d’autisme chez les garçons afro-américains de 340%. La découverte de ce risque a été cachée sous la pression de hauts fonctionnaires. Les chercheurs du CDC ont alors recalculé leurs résultats en omettant d’inclure une population donnée afin de pouvoir obtenir les résultats désirés. Mais même en recalculant ainsi les données après avoir omis cette population, un risque significatif d’autisme est encore retrouvé en lien avec le vaccin ROR. La mention d’un tel risque se retrouve par ailleurs également dans la présentation de l’étude originale faite par l’Institut de Médecine (IOM) (cf. pages 29 et 31 de cette présentation)

Le Dr William Thompson qui a travaillé pour l’Agence gouvernementale pendant plus d’une décennie  a confirmé que :

« Depuis les débuts de 2003, le CDC était au courant de la relation qui existait entre l’incidence de l’autisme et l’âge auquel le premier vaccin ROR était administré chez les garçons Afro-Américains, mais a choisi de dissimuler la chose. »

Il a fait remarquer :

«  Nous avons perdu dix années de recherche parce que le CDC est actuellement tellement paralysé par tout ce qui touche à l’autisme. Ils ne font pas ce qu’ils devraient faire parce qu’ils ont peur des conclusions qui pourraient être tirées. »

Il prétend que ses supérieurs ont commis des actes criminels et a exprimé son profond regret quant à son rôle qui a contribué à masquer les données du CDC.

Cette augmentation du taux d’autisme régressif chez les Afro-Américains a bel et bien été trouvée. L’association Autisme Speaks (fondée en 2005 par les grands-parents d’un enfant autiste) signale que « la question du risque d’autisme régressif chez les enfants Afro-Américains a déjà été posée deux reprises ».

Il semble que la chose soit directement liée à la sortie récente des documents du CDC, ainsi qu’aux aveux du chercheur du CDC, le Dr William Thompson.

Les révélations du Dr Thompson remettent en question les neuf autres études citées par le CDC comme preuves permettant de nier un lien entre autisme et vaccins. Ces révélations ont également suscité une pétition (sur change.org) pour que l’étude frauduleuse soit retirée du journalPediatrics qui fut publié en 2004.

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Une note de service de 2004 dans laquelle le Dr Thompson exprimait déjà au Dr Gerberding (chef du CDC à l’époque) ses inquiétudes sur cette étude problématique, a été récemment publiée. Cette étude a bouleversé les citoyens. Cela signifierait-il que le Dr Gerberding aurait commis un parjure au cours d’une audition au Congrès? Un examen plus approfondi sera nécessaire pour le savoir.

Lire ici la copie de la lettre obtenue grâce à la Loi sur la Liberté de l’Information (FOIA)

Quoi qu’il en soit, de nombreux citoyens qui considèrent la chose comme un méfait délibéré, à la charge des contribuables, ont entamé une campagne médiatique (Twitter etc.) pour informer le public de cette histoire et de ses conséquences. Les parents espèrent que l’Agence sera tenue responsable des dissimulations qui ont été effectuées. Ils réclament également une enquête pour que l’on puisse savoir si le Dr Coleen Boyle  aurait aussi commis un parjure dans son témoignage devant le Congrès, quand elle avait été publiquement interrogée sur la question des liens possibles entre les vaccins et l’autisme.

Le Département Américain des Ressources de Santé et des Services de l’Administration a déjà reconnu que l’autisme pouvait être une conséquence indirecte de dommages vaccinaux comme ce fut documenté dans la mise à jour du tableau « Dommages vaccinaux » qui a fait suite au rapport de l’Institut de Médecine (IOM) de 2011. Ils ont rejeté l’autisme comme effet secondaire direct et spécifique de la vaccination ROR mais au vu des dernières révélations, les textes pourraient subir des modifications.

Le CDC a répondu à ces allégations en indiquant qu’ils reconnaissaient que cette étude avait montré une augmentation du risque d’autisme avec le ROR :

«  Les résultats des recherches ont révélé qu’entre 24 et 36 mois, la vaccination était légèrement plus fréquente chez les enfants atteints d’autisme, et que cette association était la plus forte chez les enfants de 3 à 5 ans. »

Ils ont rejeté la chose en avançant l’hypothèse que les parents dont les enfants sont autistes se sont précipités pour les faire vacciner avant de rentrer à l’école.

« La chose la plus probable est que tout résulte des exigences de vaccinations préscolaires »

Programme spécial d’éducation pour les enfants atteints d’autisme

Cela soulève des questions parce qu’il y a des exigences de vaccination pour tous les enfantsqui fréquentent l’école publique et que les enfants qui disposent d’une exemption pour les vaccins ont déjà été exclus du compte (de l’étude réalisée).

Deux-bebes1

Le CDC indique également que :

« Des études complémentaires, ainsi qu’un examen rigoureux plus récent de l’Institut de Médecine ont établi que le vaccin ROR ne pouvait pas augmenter le risque d’autisme. »

Les études sur lesquelles le CDC se base pour affirmer qu’il n’y a aucun lien entre le vaccin ROR et l’autisme sont au nombre de 4. Le CDC reprend ces études sur son site. Un rapide coup d’œil à ces 4 études soulève plusieurs questions.

* La première étude montre un lien significatif (entre les vaccins et l’autisme)

* La seconde étude a été réalisée par l’infâme Dr Thorsen qui attend son extradition vers les Etats-Unis pour cause de fraude. Il est repris sur la liste du CDC comme l’homme le plus recherché – l’instance ayant remis tout son travail en question- et ceci sans parler des autres problèmes potentiels qui ont été soulevés au sujet de cette étude.

La troisième étude est de nature préparatoire/préliminaire. Elle se base sur de très faibles échantillons : 28 enfants au total, ce qui est très peu.

La dernière étude a porté sur 31 enfants pour l’échantillon de contrôle et s’est appuyée sur des entrevues avec les parents pour fournir des renseignements médicaux et comportementaux. Ensuite, ils ont constaté que plus de la moitié (50%) des enfants atteints d’autisme ont régressé peu de temps après la vaccination ROR ((dans un délai de moins de 5 mois après la vaccination), alors même qu’ils ont conclu qu’il n’y avait pas de connexion.

Cela pose la question de savoir pourquoi il n’y a que quatre études qui ont été utilisées pour appuyer les allégations que le ROR est un vaccin sûr. Une recherche rapide sur PubMedpermet de tomber sur un document de recherche de 2012, revu par les pairs et qui a porté sur l’étude de plus de 500.000 enfants. Cette recherche a mis en évidence une augmentation significative des effets secondaires après la vaccination ROR: 22 fois plus de risques de méningite, 500% d’augmentation du risque de convulsions fébriles et autres effets secondaires majeurs, y compris des troubles de la coagulation.

La déclaration complète du CDC peut être lue ici.

La récente publication d’un autre document, relatif à une enquête du Ministère de la Justice en 2002, a montré que le Dr William Thompson était à ce point préoccupé par ce rapport qu’il a envisagé de retirer son nom du document. A la lumière de ses récentes déclarations et des documents publiés sur cette affaire, ne serait-on pas en droit de se demander si tous les avocats concernés n’auraient pas tenté  d’empêcher la divulgation de cette information ?

L’information divulguée par NaturalNews peut être consultée ici.

Source: CNN

Voir aussi:  Les aveux, déjà en 2008 sur CBS, du Dr Bernadine Healy, ancienne Directrice du National Institute of Health (NIH). La question du lien entre autisme et vaccins n’est pas tranchée disait-elle, il existe des inquiétudes et le refus par les autorités d’appliquer une vraie Science amène à sacrifier des enfants qui vont être rendus inutilement autistes alors qu’on aurait pu les dépister…

Qu’est-ce que l’autisme? Est-ce si grave et si coûteux? Rendez-vous compte par vous-même en regardant ci-dessous du temps 3.28 à 4.08  (Pour info, en Belgique, il y a plus de 100 000 autistes dont une majorité de cas d’autisme régressif, soit le type d’autisme qui survient après des vaccins et qui se caractérise par un développement parfaitement normal au départ suivi d’une sorte de « cassure » dans le développement qui correspond au déploiement dans le temps des effets neurologiques des vaccins) :

© 2014, Recherche et transmission par Michel / Arcturius
Partager en toute liberté en citant la source et Les Chroniques d’Arcturius
Utilisez toujours votre discernement par rapport à ces textes.
Vous avez un Libre Arbitre, alors servez-vous en!

Source: http://www.arcturius.org/chroniques/cnn-revele-fraude-du-cdc-lautisme-bien-cause-les-vaccins/

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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 10:35

anonyme01b

Aujourd’hui je vous partage une incroyable confession effectuée par une assistante dentaire française (trouvé sur le web) ; accrochez-vous c’est du lourd et si tout est vrai, je vous invite à regarder votre dentiste d’une autre manière et surtout l’état de votre bouche !

Lisez plutôt:

Je suis assistante dentaire depuis 25 ans chez un dentiste assez traditionnel mais qui accepte toutefois d’enlever les amalgames au mercure aux patients qui le demandent, même si lui-même continue à en poser. Cela peut sembler paradoxal mais c’est ainsi. Il y a pourtant une logique puisqu’il remarque parfois des reprises de carie sous ses propres composites qui conduisent alors souvent à dévitaliser les dents ensuite, ce qui en définitive est encore pire.

Concernant les dents dévitalisées, il fait le nécessaire pour les conserver le plus longtemps possible et ne les extrait que lorsqu’elles sont vraiment trop abîmées et qu’on ne peut même plus les couronner.

Un patient a demandé une fois de lui extraire une dent qui paraissait bonne car il était convaincu que cette dent dévitalisée l’empoisonnait. Peut-être était-il tombé sur les sites internet du Dr Darmon ? Le dentiste a accepté de le faire et le patient a d’ailleurs rapidement guéri de son problème de santé.

Je me rends compte en fait que mon dentiste fait un peu ce que les patients lui demandent.

C’est au hasard de mes lectures sur internet que j’ai découvert les sites du Docteur Darmon. Comme ce praticien, j’ai eu l’occasion un peu par hasard, de voir de surprenantes guérisons qu’on n’observe pas en enlevant seulement les amalgames au mercure. J’aurais de nombreuses histoires à raconter sur ce sujet mais je vais juste vous en raconter quelques unes.

1- Un patient souffrait d’une chute de cheveux localisée à l’arrière du crâne depuis des années sans que personne n’ait trouvé d’autre explication que le frottement sur l’oreiller. Un jour, une dent dévitalisée a été extraite et les cheveux ont repoussé aussitôt.

2- un autre patient souffrait de tendinite aux deux tendons d’Achille, si douloureuse qu’il peinait à se déplacer. Il a consulté le Kinésithérapeute, fait des injections locales, rien ne le soulageait ou alors temporairement. Là encore, une extraction de dent dévitalisée a résolu le problème…

3- Plus récemment, j’ai eu l’occasion de discuter avec une patiente dont l’état dentaire était exceptionnel. Pas une seule carie. Sauf, une molaire qui a du être dévitalisée. Et comme par hasard, elle consulte quelques années plus tard pour l’apparition de ganglions « inexpliqués » dans le cou justement du même côté que cette dent et sa santé commence à se dégrader. La panoplie d’examens réalisés ne révèle aucune anomalie. Je lui ai fait remarquer qu’il pouvait y avoir un lien entre ces symptômes et cette dent dévitalisée, qui ne lui fait pas mal et qui apparemment n’a aucune infection et que la solution serait de l’enlever. Mais elle n’y croit pas, d’autant plus qu’aucun médecin n’a évoqué cela.

4- Un patient souffrait depuis des années de céphalées et douleurs diffuses qui sont apparues peu de temps après avoir dévitalisé une dent. Il a été trimballé de médecin à médecin, d’examen à examen sans qu’aucune cause ne soit trouvée. On l’a même traité de « PSY ». Trois ans après, la dent s’est mise à faire mal et mon dentiste l’a extraite. Tout est rentré dans l’ordre presque du jour au lendemain.

5-  Deux dents sont dévitalisées à une patiente et quelques mois plus tard comme par hasard, apparaissent des kystes et nodules sur les cordes vocales ainsi que des douleurs musculaires diverses. Séances d’orthophonie (la personne ne pouvait plus parler), kiné, anti-inflammatoires sur une longue durée et les choses se sont améliorées. Quelques années passent, et c’est une endométriose très invalidante et d’énormes kystes sur les ovaires qui font leur apparition. Opérée plusieurs fois, elle récidive pourtant. Les médecins avouent ne pas connaître les causes de ces troubles. Là aussi, j’ai informé la patiente qu’il pouvait exister un rapport entre ces différentes manifestations et ses dents dévitalisées et là aussi elle ne me croit pas.

6- Enfin, il y a mon propre cas. C’est celui-là bien sûr qui m’a le plus ouvert les yeux. Il y a quelques années, j’étais constamment malade, très fatiguée avec des douleurs dans tout le corps. Mon patron m’a extrait 6 dents dévitalisées sur une période d’un an, même si selon ses examens, certaines ne montraient aucune toxicité.
Depuis, j’ai retrouvé une énergie incroyable. J’ai jeté tous mes traitements à la poubelle. Ma qualité de vie a été multipliée par mille. Cette amélioration ne peut être expliquée que grâce à ces extractions puisque je n’ai rien changé d’autre à ma façon de vivre.

J’ai interrogé mon patron sur la théorie de la toxicité des dents dévitalisées. Il m’a répondu que tout ça pouvait se discuter. Il ne nie pas les répercussions des dents dévitalisées sur notre organisme puisqu’il a, comme moi, pu constater des problèmes de santé résolus après extractions. Mais de là à l’admettre et à en informer les patients remettrait trop de choses en question dans sa pratique… Ce serait trop compliqué.

Voici quelques chiffres qui vous permettront de comprendre un peu la gestion d’un cabinet :

Un soin classique est réalisé en une demi-heure environ. Il sera facturé 16,87, 28,92 ou 40,97, disons 30 euros en moyenne pour une demi heure. Ce qui fait une rentabilité grosso modo de 60 euros de l’heure pour des soins et encore moins si le patient revient plusieurs fois pour le soin d’une même dent..

Une extraction coûte entre 16,72 et 33,44 euros pour un rendez vous de 30 minutes environ, rentabilité moyenne, 50 euros de l’heure.

La rentabilité des soins est la même partout puisque les tarifs sont bloqués sur tout le territoire français.

En revanche, en ce qui concerne la prothèse, le praticien est libre d’appliquer les honoraires qu’il juge adéquats. Ce qui amène parfois une grande disparité selon les cabinets et leur position géographique.

Une couronne en métal est réalisée en 2 ou 3 rendez-vous d’une demi-heure et facturée environ 300 euros et coûte environ 50 euros de prothésiste. Donc rentabilité 160 euros de l’heure en moyenne. Et c’est plus encore pour une couronne en céramique. Les tarifs de prothèses sont plutôt bas chez nous en zone rurale, mais en ville ils peuvent être bien plus élevés.

Il est donc au minimum trois fois à quatre fois plus rentable de faire des couronnes sur dents dévitalisées que de garder les dents vivantes.

La rentabilité du dentier vaut à peu près celle de la couronne sauf s’il faut extraire des dents au préalable. La rentabilité sera alors bien moindre.

Au vu de ces données et si l’on tient compte des nombreuses charges d’un cabinet dentaire, force est de constater que c’est la réalisation des couronnes sur dent dévitalisée qui rentabilise un cabinet, notamment pour les patients pauvres qui ont la CMU.

Très souvent, le dentiste pourrait garder vivantes certaines dents qu’il dévitalise pourtant systématiquement. Il ne peut pas toujours se permettre de revoir un patient plusieurs fois pour la pose d’un pansement sur une même dent sachant qu’il n’existe pas de cotation (donc de facturation) pour ces multiples séances.

L’acte de dévitalisation est devenu très banal, un peu trop donc.

Depuis que j’ai pris conscience du problème des dents dévitalisées, chaque jour, j’ai envie de dire aux patients qu’à cause de leurs dents dévitalisées, ils risquent d’avoir mal au dos, tomber malade, avoir peut-être un cancer et certainement souffrir dans le futur. Je constate que la plupart sont assez sceptiques quand je leur en parle. Et même si certains sont d’accord, l’idée de devoir porter un dentier par la suite ne les enchante guère…

Le système de remboursement incite le dentiste à dévitaliser des dents, le patient veut à tout prix conserver ses dents mortes car il ne se rend pas compte à quel point l’empoisonnent ses dents dévitalisées et il ne veut pas porter de dentier. Le sujet est donc complexe.

Chacun est libre de croire ou non à cette théorie sur les dents dévitalisées qui rendent tout le monde malade, mais sachez qu’à mon niveau ce n’est plus une question de croyance, c’est une observation de faits sur de nombreuses années et de nombreux cas. Je me suis penchée sur les dossiers médicaux d’une centaine de patients. C’est peu je vous l’accorde, mais ils me montrent que les patients du cabinet dentaire  malades ou manquant d’énergie ont tous en commun des dents dévitalisées. C’est vrai aussi chez les enfants à qui on dévitalise encore plus les dents de lait. Les patients porteurs de dentiers présentent moins de pathologies que les autres, s’ils n’ont plus de dents dévitalisées. Et, les premiers maux apparaissent quelques fois peu de temps après l’acte de dévitalisation.

Bien sûr, les patients ne tombent pas tous malades juste après la dévitalisation mais j’ai aujourd’hui conscience qu’ils vont tous vers les ennuis bien plus vite. Et cela même si les maladies n’apparaissent que bien plus tard. C’est bien pourquoi justement personne ne fait le lien entre ces dents dévitalisées et toutes ces pathologies qui se développent aujourd’hui.

La comparaison peut sembler terrible, mais je me sens un peu comme la complice d’un tueur en série, même si ce n’est qu’un tueur de dents en séries certes qui n’a lui même pas conscience qu’il est un tueur en série. Car dévitaliser des dents c’est les tuer aussi et tuer aussi un peu le patient… Je sais que mon dentiste pense bien faire son travail et qu’il croit qu’il est mieux de garder des dents mortes qui évitent le dentier aux patient qui n’en veulent pas mais je vois aussi qu’il ne veut pas vraiment en savoir plus quand il constate que les patients retrouvent la santé quand on leur enlève des dents dévitalisées.

Je sais qu’aucun dentiste, même s’il reconnaît ce problème, ne pourra le dire ouvertement sous peine de problèmes avec son Ordre professionnel. C’est pourquoi je désire tant m’exprimer.

Si nous tous, patients, ne nous intéressons pas au sujet, ou nous intéressons seulement à des sujets secondaires comme les amalgames au mercure notamment, les praticiens ne nous informeront pas de l’empoisonnement insidieux causé par la dent dévitalisée d’autant plus que la plupart des dentistes n’en ont pas vraiment conscience.

J’ai écrit au journal local pour l’informer sur le problème des dents dévitalisées. A la suite de mon action, un article a été rédigé.

Le dentiste parisien interviewé par le journal s’est voulu rassurant en affirmant que la dent dévitalisée n’est pas un organe mort, que c’est juste le nerf qui est retiré pour supprimer la douleur. Mais ce dentiste ment à l’évidence car c’est tout le paquet vasculo nerveux (les nerfs et vaisseaux sanguins internes à la dent) qui est extirpé dans l’acte de dévitalisation et la dent dévitalisée est bien une dent morte. Ce dentiste parisien nie aussi que la dent dévitalisée puisse provoquer une quelconque maladie quand elle est correctement dévitalisée. Mais moi je constate tout le contraire au cabinet dentaire.

Vous aussi, vous pourriez contacter comme je l’ai fait, les journalistes de votre région pour les interpeller sur ce sujet immense pour la santé publique, et leur transmettre ce texte par exemple. Ils pourront me rencontrer s’ils le souhaitent. Et, peut-être qu’enfin on parlera dans les médias de ce qui pourrait être aujourd’hui la plus grande cause de maladies et dont on n’entend pourtant jamais parler.

C’est sûr, je ne suis qu’une assistante dentaire mais pas moins apte à réfléchir pour autant ! Les faits sont là et ils dépassent toutes les explications qui se veulent rassurantes.

Pour finir, je dirai à ceux qui prônent tant la conservation des dents dévitalisées : qu’ils apportent aussi la preuve de leur innocuité.

Je resterai anonyme car je n’ai pas envie de perdre mon emploi. Mais si un journaliste voulait me rencontrer et uniquement un journaliste,  j’accepterai de le recevoir s’il garantit mon anonymat. Il lui faudra toutefois passer au préalable par le Dr Darmon lui même pour avoir mes coordonnées.

Commentaires du Dr darmon > les soins de conservation donc de conservation des dents vivantes sont en France les moins chers d’Europe. - Lien -

Comme par hasard les Français ont aussi le plus de dents dévitalisées d’Europe, il faut bien que les dentistes français se rattrapent en couronnant des dents dévitalisées donc qu’il faut dévitaliser au préalable : - Lien -

Et comme par hasard les Français sont aussi ceux qui ont le plus de maladies et de cancers d’Europe. La simple prise de conscience de ce que je viens d’écrire confirmée par le texte précédent est la clef plus que tout de la santé de la population française. Mais si c’était vrai, ça se saurait évidemment……

Sources:
Dents dévitalisées
Mutien

http://www.sante-nutrition.org/

© 2014, Recherche et transmission par Michel / Arcturius
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Source: http://www.arcturius.org/chroniques/incroyable-confession-dune-assistante-dentaire/

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13 septembre 2014 6 13 /09 /septembre /2014 16:46

L’eau potable est bourrée de médicaments

S’il est un domaine où la France à tendance à faire la course dans le peloton de tête, c’est bien la consommation de médicaments. Ainsi, en 2012, quelque 175.500 tonnes de médicaments ont été vendues en France, dont environ 5.500 tonnes dédiées aux animaux d’élevages. Ce tonnage de chimie pharmaceutique qui fait de la France la première consommatrice de médicaments en Europe, est également à l’origine d’une contamination de la ressource en eau potable.

Plus de la moitié des 48 boîtes de médicaments que chaque Français ingurgite en moyenne chaque année, n’est pas retenue par nos organismes et se retrouve finalement dans les eaux de surface via des stations d’épuration non conçues pour les traiter. Dans ces conditions, rien d’étonnant que les rares études existantes relèvent trois grandes familles de molécules dans les eaux de surface :
  • des œstroprogestatifs (pilules contraceptives),
  • des tranquillisants (les Français sont les premiers consommateurs d’antidépresseurs au monde),
  • des anticancéreux.

Or, bien que connue et de plus en plus souvent dénoncée, cette contamination n’est quasiment pas étudiée, et encore moins combattue. Il y a pourtant urgence. Ces médicaments sont actifs à très faible dose et certains peuvent s’accumuler dans l’environnement (la biodégradabilité médicamenteuse oscille entre 10 et 90%).

Mais, outre leur potentielle nocivité, le cocktail de leur dissémination dans le milieu naturel inquiète. Plusieurs études soulignent d’ores et déjà, la féminisation d’espèces animales.

Trois grands risques identifiés

L’année dernière, un rapport dédié de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a estimé le risque négligeable, tout en reconnaissant un manque de données sur l’exposition et l’évaluation de la toxicité ad hoc (seules deux molécules d’origine médicamenteuse ont été analysées, alors que l’on en trouve plus de 160 dans l’eau).

Néanmoins, dans les pays occidentaux, on relève habituellement trois grands risques :

  • féminisation des caractères sexuels,
  • résistance aux antibiotiques,
  • dérèglement du système endocrinien.

Face à cette situation, plusieurs causes expliquent l’absence de réaction étatique et de non prise en compte dans les critères de potabilité de l’eau. Aujourd’hui, les critères sont obsolètes et il en va de même des méthodes d’analyses et de l’interprétation qui en est éventuellement faite.

Si le risque est considéré comme négligeable – car lorsqu’on ne cherche pas on ne peut pas trouver – la non prise en compte de la toxicité à de très faibles doses, le caractère redondant de l’exposition et l’effet cocktail des multiples substances présentes font qu’il est impossible de définir des critères de potabilité exhaustifs, et encore moins de les évaluer. Il en va d’ailleurs de même pour les pesticides.

De l’eau marron ? Rien d’anormal monsieur !

A titre d’anecdote, dans un village de l’Essonne où j’ai vécu pendant 23 ans, un beau matin l’eau du robinet était devenue marron. J’ai téléphoné à la mairie – ainsi que beaucoup d’autres – pour demander ce qui se passait ; la secrétaire m’assura qu’ils avaient en main la dernière analyse du jour par le service des eaux et que tout était normal. Je me suis insurgé en rappelant que l’eau est par définition incolore inodore et sans saveur. Prévenu, le maire adjoint se rendit immédiatement au laboratoire d’analyses, et il apprit ainsi que le protocole de l’analyse ne portait que sur un ensemble de toxiques statistiquement possibles… Bien entendu, faire le tour du tableau de Mendeleïev chaque jour serait aussi compliqué que coûteux.

Or, une enquête poussée sur les industries du coin permit de découvrir rapidement qu’un atelier de galvanoplastie avait, la veille, purgé (en douce) une cuve d’un sel de chrome dans la rivière attenante ; cette rivière desservait entre autres le bassin de traitement qui alimentait le village. L’analyse du chrome n’était pas prévue, puisque cette pollution n’était jamais survenue auparavant.

Quelles solutions ?

Acheter de l’eau en bouteille n’est pas une bonne solution : c’est coûteux, pénible à transporter, et peu sûr en sécurité sanitaire, en particulier dans les bouteilles plastique qui risquent de contenir des molécules en suspension de plastique et de dioxine, si elles ont été exposées au soleil ou chauffées durant leur transport.

La seule solution vraiment sûre passe par l’achat d’un appareil à osmose inverse pour la cuisine. L’eau qui en sort est complètement déprogrammée, ce qui est une bonne chose, puisque débarrassée de toutes mémoires toxiques, mais elle est trop pure, donc trop déminéralisée. Il suffit d’y introduire un quartz, ou une cuillère à café d’argile à boire, ou encore de la stocker dans un pot en biocéramique.

NOTA : De plus, le traitement de l’eau à l’osmose inverse (inventé pour recycler indéfiniment l’eau… même l’urine à bord des capsules spatiales) vous prémunit d’additifs toxiques au long court prévus par des règlementations stupides, voire malveillantes, tels de l’aluminium pour éclaircir l’eau, ou éventuellement du fluor, pour soit disant protéger les dents (lire mon article précédent).

Alternative santé

Rédigé par David Jarry - Webmaster

      Diffusé par: http://www.2012un-nouveau-paradigme.com/2014/09/l-eau-potable-est-bourree-de-medicaments.html

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17 août 2014 7 17 /08 /août /2014 23:51

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VACCINATIONS : UN MEDECIN REFUSE DE VACCINER SES PATIENTS ET TEMOIGNE

 

Bien que l’article que je vous délivre ici soit daté de mai 2011, je décide sans la moindre hésitation de le relayer, car il met non seulement en évidence la prise de conscience de certains médecins vis à vis du danger de la vaccination, mais également du nombre croissant de refus de la pratique de la vaccination parmi la communauté médicale.

Alors que les pressions exercées par big pharma pour intensifier leurs campagnes de vaccination – voir même les rendre obligatoires au mépris de la santé des patients – n’ont jamais été si fortes, constater que les pratiquants eux mêmes se responsabilisent quitte à faire une croix sur d’importants revenus est un fort message d’espoir, en voici le témoignage… Le veilleur

Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis médecin généraliste depuis 35 ans, et j’ai vacciné pendant 33 ans, sans état d’âme et en toute innocence coupable, oxymore seulement apparent : l’innocent ne sait pas, mais le médecin qui ne sait pas est coupable. Ma seule information a été la faculté (qui glissa joyeusement sur le sujet en 2-3 heures), et surtout la presse médicale et ses valets, les visiteurs médicaux ; jamais le dogme n’a été remis en question.

Il a fallu l’insistance et l’arrogance de Madame Bachelot à l’occasion de la grippe porcine pour que s’ouvre enfin ma machine à penser, à douter. Des ouvrages contestataires me sont tombés dans les mains comme par magie, et j’ai du non seulement remettre en question cette vaccination, mais l’ensemble des vaccins. Chaque nouveau bouquin m’a apporté des révélations, m’a appris le formidable mensonge entretenu depuis Pasteur, dont j’ai découvert qu’il n’était qu’un escroc, avec une nombreuse descendance. J’en parlerai plus tard peut-être.

Comprenez qu’un médecin qui refuse de vacciner prend quelques risques avec son Ordre, et compromet gravement ses revenus (en 7 ans, un enfant « rapporte » au moins 500 euros sous cet angle) : ce qui n’incite guère ni à la réflexion, ni à la remise en question. J’ai franchi ce pas, après bien d’autres confrères, dans la discrétion. De plus en plus de confrères et de moins en moins de discrétion, pour eux comme pour moi, car les mentalités évoluent. Nos détracteurs nous montrent qu’en fait ils n’ont jamais étudié la question, ou choisi de ne pas l’entendre. En principe, celui qui se donne la peine d’étudier vire sa cuti dans les mois qui suivent.

J’ai donc vacciné trois fois depuis un an (au lieu de 300), sous contrainte, au désespoir, et non sans avoir tout tenté pour expliquer (Je n’ai pas poussé la seringue à fond, pour me donner bonne conscience, mais c’est quand même trois échecs personnels). Cela ne se reproduira plus. Mon chiffre d’affaire n’a pas baissé, ce qui prouve qu’on peut le faire. Je vois moins d’enfants, et c’est dommage pour eux. Mais je vis, je vis bien, je vis mieux, et je vis avec la conscience de faire ce qu’il faut. Voici, par exemple, pourquoi j’agis ainsi (mais j’ai des centaines d’articles tout aussi convaincants).

Un dernier mot : seuls trois vaccins sont obligatoires en France (et aucun dans un grand nombre de pays): Diphtérie,Tétanos et Polio. L’imposition de tout autre vaccin est illégale, dans tous les cas de figure, et même punie par la loi, sauf dans certaines professions (médicale et militaire), ce qui est hautement discriminatoire et contestable.

Je recommande un petit livre de la collection Jouvence, écrit par un collectif de médecins suisses, très facile à lire, et qui ne vous coutera que 4,90 euros, mais vous amènera en douceur à la raison : « Qui aime bien, vaccine peu » qu’on peut commander sur editions-jouvence. De plus, on ne peut pas ne pas avoir vu le film « Silence on vaccine » (en bas de page)

 

Vaccins : accédez à l’entièreté des faits

Des médecins, des infirmières et des scientifiques engagés pour la protection de votre santé et celle de vos enfants :

Nicola Antonucci, MD David Ayoub, MD Nancy Turner Banks, MD Timur Baruti, MD Danny Beard, DC Françoise Berthoud, MD Russell Blaylock, MD Fred Bloem, MD Laura Bridgman, FNP, ND Kelly Brogan, MD Sarah Buckley, MD Rashid Buttar, DO Harold Buttram, MD Lisa Cantrell, RN Lua Català Ferrer, MD Jennifer Craig, PhD, BSN, MA Robert Davidson, MD, PhD Ana de Leo, MD Carlos de Quero Kops, MD Carolyn Dean, MD, ND Mayer Eisenstein, MD, JD, MPH Todd M. Elsner, DC Jorge Esteves, MD Edward « Ted » Fogarty, MD Jack Forbush, DO Milani Gabriele, CRNA, RN Sheila Gibson, MD, BSc Mike Godfrey, MBBS Isaac Golden, ND Gary Goldman, PhD Garry Gordon, MD, DO, MD(H) Doug Graham, DC Boyd Haley, PhD Gayl Hamilton, MD Linda Hegstrand, MD, PhD James Howenstine, MD Suzanne Humphries, MD Belén Igual Diaz, MD Philip Incao, MD Joyce Johnson, ND A. Majid Katme, MBBCh, DPM Tedd Koren, DC Alexander Kotok, MD, PhD Eneko Landaburu, MD Luc Lemaire, DC Janet Levatin, MD Thomas Levy, MD, JD Stephen L’Hommedieu, DC Paul Maher, MD, MPH Andrew Maniotis, PhD Steve Marini, PhD, DC Juan Manuel Martínez Méndez, MD Sue McIntosh, MD Richard Moskowitz, MD Sheri Nakken, RN, MA Christiane Northrup, MD Amber Passini, MD Ronald Peters, MD, MPH Jean Pilette, MD Pat Rattigan, ND Zoltan Rona, MD, MSc Chaim Rosenthal, MD Robert Rowen, MD Máximo Sandín, PhD Len Saputo, MD Michael Schachter, MD Viera Scheibner, PhD Penelope Shar, MD Bruce Shelton, MD, MD(H) Debbi Silverman, MD Kenneth « KP » Stoller, MD Terri Su, MD Didier Tarte, MD Leigh Ann Tatnall, RN Adiel Tel-Oren, MD, DC Sherri Tenpenny, DO Renee Tocco, DC Demetra Vagias, MD, ND Franco Verzella, MD Julian Whitaker, MD Ronald Whitmont, MD Betty Wood, MD Eduardo Ángel Yahbes, MD

Les signataires, ci-dessus, représentent une palette de professionnels comprenant des pédiatres, des médecins de famille, des neurochirurgiens, des professeurs de pathologie, de chimie, de biologie et d’immunologie. Tous ont, de façon indépendante, investigué l’ensemble des données scientifiques relatives à ce sujet et en arrivent aux conclusions que vous pourrez lire dans ce document.

MD, DO, MB, MBBCh indiquent tous une formation de doctorat en médecine ou de niveau équivalent.

ND indique une formation médicale du niveau d’un doctorat mais dans des domaines plus spécifiques de la pratique médicale.

FNP signifie une infirmière pratiquant à domicile.

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les médecins n’arrivent pas à trouver la cause de beaucoup de maladies ? C’est parce qu’ils sont conditionnés à ignorer le lien existant entre les vaccins et diverses pathologies. Les maladies suivantes sont celles pour lesquelles il existe une association avec les vaccins, documentée dans la littérature médicale :

• Allergies et eczema
• Arthrite
• Asthme
• Autisme
• Reflux acide du jeune enfant nécessitant le cours aux inhibiteurs de la pompe à protons, des médicaments qui ont beaucoup d’effets secondaires
• Cancer
• Diabète juvénile
• Maladies rénales
• Fausses couches
• Longue liste de maladies neurologiques et auto-immunes
• Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson (MSN)
• Et beaucoup, beaucoup plus

Il y a certains effets secondaires des vaccins qui sont documentés dans la littérature médicale et/ou dans les notices des fabricants :

• Arthrite, troubles sanguins, thromboses, attaques cardiaques, septicémie
• Infections des oreilles
• Evanouissements (avec rapports de fractures consécutives)
• Insuffisance rénale nécessitant une dialyse
• Convulsions/épilepsie
• Réactions allergiques sévères, comme l’urticaire ou l’anaphylaxie
• Mort subite
• Beaucoup de diagnostics habituellement donnés comme motifs d’hospitalisation
• Le programme national d’indemnisation des accidents post-vaccinaux (NVCIP) a octroyé plus d’1,2 milliard de dollars ($) d’indemnisation aux victimes, enfants comme adultes.

 

L’autisme est associé aux vaccins

L’autisme était rare avant les programmes de vaccination de masse qui ont été amplifiés en 1991, avec l’introduction des vaccins contre l’hépatite B et l’Hib (méningite). Des dizaines de milliers de parents peuvent attester que leurs enfants sont devenus autistes vraiment peu de temps après avoir reçu ces vaccins ou d’autres.

Prenez connaissance de l’information disponible sur le site fourteenstudies.org. Vous verrez que les études réfutant le lien entre vaccins et autisme, sont hautement contestables. Les compagnies pharmaceutiques, les compagnies d’assurance et le système médical vivent financièrement de vos maladies.

• Les vaccins ne procurent pas d’immunité à vie, ce qui signifie que des rappels sont recommandés.

• Chaque injection de rappel accroit le risque d’effets secondaires.

• Les effets secondaires des vaccins peuvent vous rendre malade pour le restant de votre vie. Et, fort opportunément, il existe beaucoup de médicaments pour traiter les effets secondaires provoqués par les vaccins.

• Aux Etats-Unis, vous ne pouvez pas poursuivre le fabricant ou votre médecin lorsqu’un accident survient après une vaccination. L’un et l’autre sont protégés par la loi nationale sur les dommages vaccinaux chez l’enfant («National Child Vaccine Injury Act ») de 1986. Cette loi signée et rendue effective par le président Ronald Reagan stipule :
« Aucun producteur de vaccins ne pourra être rendu responsable, dans une action civile, des dommages ou des décès liés à un vaccin. » (Loi publique 99-660)

Beaucoup de médecins et de professionnels de la santé ne se vaccinent pas et ne font pas vacciner leurs enfants. Pourquoi ne le font-ils pas ?

• Ils savent qu’il n’est pas prouvé que les vaccins soient sûrs ou efficaces.

• Ils savent que les vaccins contiennent des substances dangereuses.

• Ils savent que les vaccins génèrent de graves problèmes de santé.

• Ils ont déjà eu à traiter des patients souffrant de graves effets secondaires de vaccins.
La seule personne qui retire avantage d’être en bonne santé, c’est vous et ceux sur qui vous veillez.

• Les compagnies pharmaceutiques ont infiltré et pris le contrôle du système médical dans son ensemble, incluant les écoles de médecines, les journaux médicaux, les hôpitaux, les cliniques et les pharmacies locales. Les revenus des médecins dépendent donc d’une foi aveugle, qui implique de ne jamais remettre en question le moindre aspect de la moindre vaccination. Même quand le médecin a sous les yeux les preuves évidentes d’un dommage vaccinal, il/elle est habituellement peu disposé(e) à envisager la vaccination comme en étant la cause. Malgré le fait que la science et la médecine non corrompues confortent l’abandon des vaccins, agir ainsi peut être considéré comme suicidaire pour sa carrière professionnelle. Les signataires de ce document assument définitivement et courageusement ces risques pour votre sécurité et celle de vos enfants.

• Les hôpitaux tirent financièrement avantage des hospitalisations et des examens.

• Les compagnies pharmaceutiques retirent des milliards de dollars des vaccins.

• Les compagnies pharmaceutiques gagnent des dizaines de milliards de dollars grâce à la vente de médicaments destinés à « traiter » les effets secondaires et les maladies chroniques à vie causées par les vaccins.

• Les vaccins sont la clé de voûte du système médical. Sans vaccins, les coûts des soins de santé diminueraient parce qu’au final, nous aurions une société plus saine dans son ensemble. Nous avons échangé la varicelle contre l’autisme, la grippe contre de l’asthme, des infections ORL pour du diabète,… et la liste pourrait encore continuer. En voulant frénétiquement éradiquer des microbes relativement bénins, nous avons troqué des maladies temporaires contre des maladies chroniques à vie, lourdes, insidieuses, des désordres, des dysfonctions, des inaptitudes et autres incapacités.

 

Combien y a-t-il de vaccins ?

Si les enfants américains reçoivent toutes les doses de tous les vaccins, ils se font administrer 35 injections qui contiennent 113 différentes sortes de particules microbiennes, 59 produits chimiques différents, 4 types de cellules ou d’ADN animal ainsi que de l’ADN humain issu de foetus avortés et de l’albumine humaine.

Si vous pensez que vous n’avez pas de souci à vous faire parce que vos enfants sont plus âgés, pensez-y à deux fois. Il y a pas moins de 20 vaccins supplémentaires qui sont actuellement dans le pipeline de développement de l’industrie pharmaceutique pour être mis sur le marché dans les quelques prochaines années, la plupart destinés aux adolescents et aux adultes.

Certains composants des vaccins : Comment est-il possible que les vaccins ne puissent pas faire de tort à votre santé avec ça ?

• Des virus ou bactéries adventices issues des milieux de culture à partir desquels les vaccins sont fabriqués

• Du mercure, un neurotoxique notoire, qui se trouve toujours dans les flacons multi-doses de vaccin contre la grippe utilisés dans le monde entier. En outre, le mercure se trouve toujours, à l’état de trace, dans plusieurs autres vaccins.

• De l’aluminium, un poison qui cause la dégénérescence des os, de la moelle osseuse et du cerveau.

• Des cellules animales de singes, de reins de chiens, de poulets, de vaches, et d’humains.

• Du formaldéhyde (utilisé pour l’embaumement des morts), un cancérigène notoire.

• Du polysorbate 80, connu pour causer l’infertilité chez la souris femelle et l’atrophie
testiculaire chez la souris mâle.

• De la gélatine, issue des porcs et des bovins, connue pour causer des réactions
anaphylactiques et que l’on retrouve en grande quantité dans les vaccins ROR et ceux contre
la varicelle et le zona.

• Du monosodium glutamate (MSG) dans les vaccins à inhaler contre la grippe, une substance
connue pour causer des perturbations métaboliques (par ex. diabète), des convulsions et d’autres troubles neurologiques.

 

Les conflits d’intérêts

• Les mêmes personnes qui font la réglementation et les recommandations en matière vaccinale tirent aussi avantage de la vente des vaccins. Par exemple, le Dr Julie Gerberding, qui a dirigé le CDC pendant 8 années est, à présent, présidente de Merck Vaccins. Le Dr Paul Offit, membre du Comité de Conseil en matière de pratiques vaccinales (ACIP) a développé et fait breveter son propre vaccin. Selon le CDC, pour un groupe moyen d’environ 10 pédiatres, la valeur approximative du stock de vaccins infantiles à écouler et disponibles dans leurs bureaux, avoisine les 100.000 $. Ces médecins s’enrichissent des visites au cours desquelles vos enfants sont vaccinés et aussi des visites de suivi, qui font suite aux effets secondaires de ces vaccins reçus.

Les pédiatres reçoivent des primes trimestrielles de la part des « mutualités » (« health maintenance organizations » -HMOs) avec lesquelles ils collaborent pour maintenir des taux élevés de couverture vaccinale dans leur clientèle et ils sont, semble-t-il, réprimandés par les compagnies d’assurance lorsque les taux de vaccination chutent.

Existe-t-il la moindre étude comparant la santé des enfants vaccinés à celle des non vaccinés ?

Une étude financée par Generation Rescue, appelée l’ « étude Cal-Oregon » a questionné les parents d’enfants vaccinés vs. ceux d’enfants non vaccinés. Sur les 17.674 enfants inclus dans cette étude, les résultats ont montré :

• Les enfants vaccinés avaient 120% plus d’asthme.
• Les garçons vaccinés avaient 317% plus de troubles de déficit d’attention avec hyperactivité (TDAH)
• Les garçons vaccinés avaient 185% plus de désordres neurologiques
• Les garçons vaccinés avaient 146% plus d’autisme.

Les filles représentent seulement 20% du nombre total d’enfants repris dans cette étude. Pour lire la totalité de l’étude par vous-même, allez sur GenerationRescue.org pour lire un rapport sur la faible incidence de l’autisme parmi les enfants Amish non vaccinés, allez sur vaccinationcouncil.org.Plus d’études encore au sujet de l’autisme,voir ici, et ici.

 

Les exemptions vaccinales aux Etats-Unis

Vous avez le droit de refuser ! Utilisez-le. On ne peut pas obliger que votre enfant se fasse vacciner pour fréquenter une école publique. Chaque état rend possible des exemptions et vous avez le droit de refuser les vaccins que vous estimez indésirables (exemptmychild.com) Trouvez un dispensateur de soins qui est en phase avec votre choix de ne pas vacciner et qui vous respectera sur le site vaccinationcouncil.org

Beaucoup de gens choisissent la santé et la sécurité en disant NON aux vaccins.

Les groupes qui ne vaccinent généralement pas incluent les praticiens holistiques, les chiropracteurs, les parents qui donnent eux-mêmes les cours à domicile et ceux appartenant à certaines religions. Des milliers de témoignages écrits par des parents d’enfants non vaccinés au sujet de l’excellent état de santé de leurs enfants sont disponibles sur divers sites internet. Les décisions concernant la vaccination vous appartiennent à vous et à votre époux – (se)/partenaire. Personne d’autre n’a à s’en mêler. Ce n’est pas l’affaire des autres membres de votre famille, de vos voisins ou de votre belle famille !

Pour avoir une santé brillante, vous aurez besoin de vous investir pour apprendre certaines choses nouvelles.

• Le choix de santé sûr est de dire NON aux vaccins. Vous avez le contrôle des choix de santé que vous faites pour vous-même et pour vos enfants. Vous n’avez aucun contrôle sur les conséquences d’une vaccination.

• Vous n’avez pas besoin d’un « pédiatre attitré » pour simplement peser et mesurer votre enfant et faire les injections. Envisagez la possibilité de recourir à un praticien naturopathe, un chiropracteur pour enfants, un praticien en médecine orientale ou un homéopathe. Vous pourrez constater que les praticiens de la famille des ostéopathes sont plus ouverts en ce qui concerne les choix vaccinaux.

• Les enfants naissent avec de puissantes défenses naturelles. Si cela n’était pas le cas, ils mourraient tous, peu après la naissance. D’énormes cascades de réactions immunitaires complexes commencent dès les premiers cris de la naissance. Ces processus ont besoin de se dérouler naturellement, sans être interrompus par l’injection de substances toxiques.

• Informez-vous au sujet des maladies que les vaccins peuvent « prévenir ». Votre enfant n’entrera sans doute jamais en contact avec la plupart de ces microbes et si c’était le cas, quasiment tous les enfants sains et non vaccinés s’en remettent sans aucune séquelles avec à la clé, une immunité durable à vie. La santé ne peut pas « jaillir » de la seringue.

• Informez-vous au sujet de l’importance de la fièvre, comment en tirer profit chez soi à la maison et quand recourir à un médecin. La plupart des épisodes fiévreux se résolvent d’eux- mêmes en quelques heures quand on se soigne raisonnablement (drtenpenny.com)

• Comprenez que votre enfant peut être vacciné et malgré tout contracter la maladie que vous souhaitiez prévenir. Les vaccins ne peuvent pas assurer la protection qui leur est attribuée. La santé ne peut pas « jaillir » de la seringue, ce n’est pas quelque chose qui s’injecte.

• Prenez conscience que les principales clés de la santé sont une bonne alimentation, une eau pure, un sommeil adéquat, de l’exercice et de la joie de vivre.

• Apprenez aussi des informations basiques sur les vitamines, en particulier l’information vraiment cruciale au sujet de la vitamine D3. Apprenez comment utiliser les plantes essentielles et les bases de l’homéopathie pour entretenir sa santé et gérer les troubles mineurs.

• Informez-vous davantage sur les vaccins que votre médecin ne l’a fait. Votre médecin n’a probablement jamais rien lu sur les vaccins à part les publications sponsorisées par l’industrie qui en font évidemment l’éloge.

• Sachez que vous payez pour les soins de santé ; le traitement des maladies est remboursé par les compagnies d’assurance. Votre assurance payera les médicaments et les vaccins.

• Gérer votre budget de façon à pouvoir rester en bonne santé. Votre vie en dépend.

 

Ressources web pour plus d’informations et d’aide

• International Medical Council on Vaccination (free webinars) http://www.vaccinationcouncil.org
• Example IMCV regional sites http://www.imcv-wi.org , http://www.imcv-me.org
• Dr. Sherri Tenpenny http://www.drtenpenny.com, Facebook http://www.facebook.com/vaccineinfo
• ThinkTwice Global Vaccine Institute http://www.thinktwice.com
• Vaccination Liberation http://www.vaclib.org
• Médecins américains défavorables aux vaccins http://www.novaxdoctors.webs.com
• Holistic Moms (« Mamans holistiques ») http://www.holisticmoms.org
• Moms like me (« Des mamans comme moi ») http://www.momslikeme.com

 

Des livres pour plus d’information et pour entamer la réflexion

• Saying No To Vaccines – Sherri Tenpenny, DO
• Make an Informed Vaccine Decision For the Health of Your Child- Mayer Eisenstein, MD, JD, MPH
• Vaccines: Are they really sure and effective? – Neil Miller
• Child Health Guide- Randall Neustaedter
• Childhood Vaccinations: Questions All Parents Should Ask – Ted Koren, DC
• How to Raise a Healthy Child in Spite of Your Doctor – Robert Mendelsohn, MD
• Jabs, Jenner and Juggernauts – Jennifer Craig, PhD, BSN, MA, Dhom
• Natural Alternatives to Vaccination- Ronan Zolta, MD
• The Crime of Vaccination- Tenison Deane, MD
• The Sanctity of Human Blood: Vaccination is Not Immunization – Tim O’Shea, DC
• Vaccination – Gerhard Buchwald, MD
• Vaccination: 100 years of Orthodox Research- Viera Scheibner, PhD

Les docteurs en médecine (MD, DO, 4yr ND), les docteurs en chiropractique, les professionnels de la santé qui travaillent d’une façon conventionnelle et les praticiens en santé holistique souhaitant participer aux futures versions de ce document et se joindre à notre groupe, peuvent nous contacter par e-mail à l’adresse suivante :sayno@vaccinationcouncil.org, International Medical Council on Vaccination www.vaccinationcouncil.org etwww.facebook.com/vaccinationcouncil.

Pour trouver quelques références d’ouvrages en français sur le sujet, voir ici.

Par Doctorix le Gaulois

Source trouver: Le-veilleur

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17 août 2014 7 17 /08 /août /2014 23:45

L'État a été condamné à verser près de 2,4 millions d'euros à une ancienne infirmière ayant déclaré une sclérose en plaques après un vaccin contre l'hépatite B, une décision de justice "trop rare" selon une association de victimes.

Sclérose après un vaccin : elle obtient 2,4 millions d'euros d'indemnités

Publié le 14 Août 2014

 

L'État a été condamné à verser près de 2,4 millions d'euros à une ancienne infirmière ayant déclaré une sclérose en plaques après un vaccin contre l'hépatite B, une décision de justice "trop rare" selon une association de victimes.

Un record d'indemnisation La somme en question, arrêtée par la Cour administrative d'appel de Nancy en juin dernier mais ébruitée mardi par L'Est Républicain, constitue "a priori un record d'indemnisation pour ce type de litige", a commenté auprès de l'AFP une source proche du dossier. Les faits La victime avait déclaré les premiers symptômes de la sclérose en plaques - une maladie évolutive et lourdement handicapante qui touche le système nerveux central - quelques semaines après les premières injections vaccinales contre l'hépatite B reçues à partir de 1991, dans le cadre de son activité professionnelle. Infirmière psychiatrique dans un centre hospitalier à Saint-Cyr-au-Mont-d'Or (Rhône), elle avait été mise à la retraite anticipée dès 1997, et s'est vu depuis reconnaître une incapacité permanente partielle de 60%.En 2003, elle avait formé un recours gracieux contre le ministère de la Santé, demandant réparation pour les divers préjudices subis. Celui-ci avait été refusé, décision confirmée en première instance par le tribunal administratif de Besançon en 2006.Mais en appel, en mai 2012, la Cour administrative de Nancy avait ordonné une expertise des préjudices subis par l'ex-infirmière. "Ses perspectives d'évolution professionnelle ont été réduites en raison de son handicap (et) elle justifie ainsi d'un préjudice certain à caractère professionnel", ont finalement reconnu les juges administratifs dans l'arrêt rendu en juin dernier, consulté par l'AFP. Ils ont condamné l'État sur ce point à 350.000 euros.Les magistrats ont également reconnu un préjudice global personnel de 178.000 euros et ils ont en outre condamné l'État à rembourser l'ensemble des frais de santé et de matériel spécialisé ou encore les dépenses liées à la perte d'autonomie.Au total, l'État a été condamné à verser 2.384.670,50 euros d'indemnités à la victime. Évolution récente de la jurisprudence Cette décision de justice s'inscrit dans une évolution récente de la jurisprudence, depuis la fin des années 2000 : les juridictions administratives et judiciaires ont peu à peu reconnu un lien de causalité juridique entre le vaccin contre l'hépatite B et le développement de certaines pathologies comme la sclérose en plaques. Et ce en dépit de l'incertitude scientifique qui persiste.De nombreuses études ont en effet été réalisées dans le monde pour évaluer ce lien, sans jamais réussir à l'établir, ni à l'écarter. "Les données scientifiques, nombreuses et robustes, constantes au cours du temps, confirment l'absence de mise en évidence de lien", peut-on lire sur le site internet de l'agence française du médicament. Le débat sur l'éventuelle dangerosité du vaccin a été relancé récemment par une polémique plus large sur la présence d'adjuvants à l'aluminium dans certains vaccins, dont celui contre l'hépatite B. L'arrêt de la Cour administrative d'appel de Nancy "donne de l'espoir aux victimes", a dit à l'AFP Catherine Gaches, présidente de l'association REVAHB, regroupant des personnes s'estimant victimes du vaccin contre l'hépatite B. "Ce n'est pas une première, mais ce type de décisions reste trop rare", a-t-elle estimé.Un vaccin recommandéLa vaccination contre l'hépatite B est recommandée en France pour tous les nourrissons, avec un rattrapage recommandé jusqu'à l'âge de 15 ans pour les enfants non vaccinés. Pour les personnes plus âgées, la vaccination est recommandée chez les personnes à risque d'exposition au virus de l'hépatite B. QUE CROIRE

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 11:05

vaccin-savoir

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     Un nombre alarmant d’études scientifiques mettent actuellement en lumière les dangers des vaccins.

Il ne s’agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c’est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.

Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2)

Le Gardasil, vaccin contre papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd’hui au centre d’un scandale qui n’en finit pas. Selon le décompte effectué par l’association Sanevax, ce vaccin est relié à 29 003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3)

Le vaccin contre l’hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu’il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D’autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin hépatite B avait été la cause d’une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la ville de Paris, permettant à cette personne d’être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n’ont pas eu l’idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas.

Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques même à faibles doses comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l’aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.

Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l’efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s’emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.

L’aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d’Al zheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d’après-guerre.

 

Un rapport risque/avantage douteux

Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux « immenses avantages » qu’auraient des vaccins.

L’opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d’avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et bien entendu les maladies infantiles, rougeole, oreillon, rubéole, etc.

Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m’oblige à écrire, sans hésiter, qu’il s’agit là d’une pure mythologie.

Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l’on introduise les vaccins. C’est l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène, de l’eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l’effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du 20e siècle.

 

Le cas emblématique de la diphtérie

Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et me contenterai d’exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l’échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l’excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivant. (6)

En Espagne, il y avait chaque année 5000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l’année où la vaccination systématique fut introduite.

En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L’année suivante, il y eut 15 000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la Guerre !

En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an pendant la Première guerre mondiale. Les Nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945. Après la Guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu’à 800 annuellement en 1972 (un baisse de 99,2 %).

En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l’Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22 787 cas en 1942 et près de 700 morts.

Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène.

En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s’accompagnent d’un recul de la maladie, jusqu’à une disparition quasi-totale.

Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d’introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi-inexistante (cas de l’Espagne en 1964, de l’Allemagne en 1939).

 

Un phénomène général

Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.

La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu’il y eut de campagne importante de vaccination.

Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d’enfants de moins de 15 ans, contre 1500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.

En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).

La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu’il n’y ait jamais eu de vaccin.

En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéoles) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en… 1982.

 

La tuberculose et le BCG

Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, qui ne vaccinaient pas leur population, qu’en France, où tous les écoliers se faisaient vacciner.

Aujourd’hui, alors que le BCG n’est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu’il n’est imposé en Italie qu’à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner religieusement des millions d’écoliers chaque année.

Les études de l’INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d’Après-Guerre. Les campagnes de vaccination n’ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu’auparavant, avec l’amélioration de l’hygiène et la généralisation de l’eau courante. Ce qui n’est pas étonnant quand on sait que le fait d’être vacciné contre le BCG ne protège ni de l’infection, ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd’hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n’ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.

Le problème est que le BCG comporte des risques importants d’effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l’obligation a été supprimée en 2007). C’est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l’abandon des campagnes de vaccination au BCG.

Ce n’est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l’hygiène, de l’alimentation et de l’habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.

 

La vérité soigneusement dissimulée

Actuellement malheureusement, une industrie gigantesque s’est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est d’autant plus lucrative qu’elle est totalement financée par les gouvernements, et que les entreprises qui se partagent le marché sont protégées à la fois par des brevets (dont le respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une réglementation touffue que seuls quelques grands groupes armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter.

Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d’euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques.

Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliards d’euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.

A l’achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :

  • la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions d’euros,
  • l’acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d’euros,
  • l’achat d’antiviraux pour 20 millions d’euros,
  • 150,6 millions d’euros de masques,
  • 41,6 millions d’euros de dépenses logistiques,
  • 290 millions afin d’indemniser les personnels de santé réquisitionnés,
  • 59,6 millions destinés aux frais d’information et à la campagne de communication,
  • 100 millions de « frais liés à l’organisation territoriale de la campagne de vaccination »,
  • et encore 375 à 752 millions d’euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.

Finalement, le nombre de vaccins utilisés n’a été que de 4,5 millions, ce qui est une bonne chose, mais cela veut dire que sur les 94 millions de doses, 89,5 millions sont parties à la poubelle, une fois atteinte la date de péremption. (7)
Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l’affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde.

 

Pas de suivi des accidents liés aux vaccins

De même, personne ne se soucie actuellement des risques réels que vous faites courir à vos enfants en les vaccinant. Et s’ils tombent malades juste après la vaccination, vous pouvez être certain qu’on vous expliquera qu’il s’agit d’une pure coïncidence, y compris s’il y a décès.

Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, ils déclenchent de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l’eczéma, l’hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.

Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l’accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu’ils considèrent qu’il n’y a pas de lien.

C’est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d’autres personnes que l’on retrouve sur les innombrables sites d’information sur la vaccination. (8)

Un témoignage parmi d’autres, recueilli par l’EFVV (European forum for vaccine vigilance) :

« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l’identité de mon bébé parce que j’ai peur que cela me retombe dessus, mais j’ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu’un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (Diphtérie, coqueluche, tetanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c’est. Elle était parfaite. Lorsqu’on lui fit l’injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d’une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s’est endormie profondément, et ne s’est plus jamais réveillée. J’ai commencé à m’inquiéter parce qu’elle semblait dormir plus longtemps que d’habitude et lorsque j’ai voulu vérifier, j’ai remarqué qu’elle avait un peu vomi et qu’elle ne respirait plus. Ils ont du faire une autopsie mais ils n’ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c’est le vaccin qui l’a tuée. Elle n’avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l’ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd’hui, j’ai peur qu’ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu’ils m’accusent d’avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c’est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »

Mais c’est très souvent le même scénario : officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les accidents qui s’ensuivent. La plupart des médecins nieront farouchement l’évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant, que de donner à chaque personne vaccinée un petit questionnaire, à renvoyer à l’Agence nationale du médicament, sur lequel elle noterait tous les effets anormaux qu’elle constaterait durant, par exemple, les huit jours suivant la vaccination.

Cela permettrait très rapidement d’établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l’enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c’est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu’injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l’organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.

Mais pour des raisons qui n’ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n’est absolument pas envisagé aujourd’hui par les autorités sanitaires.

 

Que faire ??

Cela veut-il dire qu’il faille à arrêter de vacciner tous les enfants ?

Non. Car même si on a exagéré les bienfaits des vaccins sur la santé publique, et même si les dangers de la vaccination sont minorés, il existe probablement de nombreux cas où il est raisonnable de vacciner.

Le problème est que l’absence d’études sérieuses sur les risques et bénéfices réels des vaccins obscurcit considérablement le débat. Ni les citoyens, ni les professionnels de santé de bonne volonté, ne disposent aujourd’hui d’éléments fiables pour prendre des décisions éclairées.

Nous sommes donc obligés de jouer à la roulette russe avec les vaccins.

Il semble toutefois raisonnable a priori d’éviter tous les vaccins qui ne sont pas obligatoires, lorsqu’on est en bonne santé. Faire du zèle est coûteux, mais plus probablement encore dangereux.

Pour toutes les maladies, il y a des personnes « à risque », et d’autres qui le sont moins. Vacciner aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier vaccinal est dans la plupart des cas, nocif.

De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires (DTPolio et BCG en France) ne le sont plus si votre médecin constate des contre-indications. Cela n’est pas théorique car de nombreuses personnes peuvent en fait présenter des contre-indications, en particulier les personnes allergiques, souffrant de maladies auto-immunes, ou ayant d’autres problèmes liés à leur système immunitaire. Un examen médical est donc recommandé avant toute vaccination, même si ce n’est pas prévu par le système.

 

Une réforme indispensable et urgente

Il est donc indispensable et urgent que les pouvoirs publics prennent des mesures visant à améliorer la connaissance des vaccins et l’information des médecins comme du grand public à ce sujet.

Une information transparente doit être donnée sur les dangers de chaque vaccin. S’il y a eu des morts, des personnes gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être informées.

Beaucoup de vaccins ont un rapport bénéfices/risques douteux. Une information lisible et facilement compréhensible doit figurer sur l’emballage des vaccins, indiquant clairement ceux qui sont indispensables, ceux qui ne sont nécessaires que dans certains cas, et ceux qui sont inutiles dans la plupart des cas.

Mais même si c’est aux médecins de s’assurer qu’ils ne font pas courir de risque inutile à leurs patients (serment d’Hippocrate), rappelons-nous que nous ne vivons pas dans l’utopie et que ce sera toujours à nous, ultimement, d’être responsable de notre santé.

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis

 

Sources :

Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.org

  1. BMJ 2013;346:f794
  2. Guillain-Barré Syndrome After Influenza Vaccination in Adultsarchive ] , David N. Juurlink, Therese A. Stukel, Jeffrey Kwong, Alexander Kopp, Allison McGeer, Ross E. Upshur, Douglas G. Manuel, Rahim Moineddin, Kumanan Wilson, Arch Intern Med. 2006;166:2217-2221.
  3. Décompte effectué par Sanevax : http://sanevax.org/breaking-news-gardasil-fingerprints-found-in-post-mortem-samples/
  4. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22249285
  5. http://www.quechoisir.org/sante-bien-etre/maladie-medecine/maladie/actualite-aluminium-dans-les-vaccins-lien-de-cause-a-effet-etabli
  6. Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.org
  7. http://www.lemonde.fr/epidemie-grippe-a/article/2010/01/04/une-grippe-a-deux-milliards-d-euros_1287422_1225408.html
  8. http://www.gardasilandunexplaineddeaths.com/

Source du texte : http://www.santenatureinnovation.com

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 Cristalain

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 11:00

bebe

  •  

Un adjuvant est un produit qu’on rajoute dans les vaccins pour augmenter la réponse immunitaire de l’organisme.

Vous connaissez en effet le principe du vaccin : on vous inocule un microbe affaibli afin de stimuler vos défenses naturelles. Le jour où vous serez contaminé par la maladie vraie, votre système immunitaire aura gardé mémoire de ce microbe, et réagira plus vite et plus fort pour l’éliminer.

C’est du moins la théorie. En pratique, c’est plus compliqué.

 

La science médicale veut corriger le système immunitaire des bébés

Chez les bébés, le système immunitaire ne fonctionne pas du tout comme chez les adultes ni même comme chez les petits enfants. (1)

Au lieu de combattre les corps étrangers qui cherchent à pénétrer, le bébé les accueille. C’est logique parce que le fœtus est un peu comme un « invité » dans le ventre de sa mère. Il doit être en mesure d’accueillir tout ce qui passe au travers du placenta. Grâce à un processus qui n’est pas encore bien compris de la science médicale, peu de temps avant et après la naissance, le système immunitaire qui acceptait toutes les substances étrangères se met à les rejeter. Il faut environ six mois après la naissance pour que ce processus soit terminé.

Et c’est ce qui pose problème aux médecins qui veulent vacciner : quand le bébé est tout jeune, ils ont beau lui injecter des vaccins, le bébé ne fabrique pas, ou pas assez, d’anticorps. Et en dépit d’une absence quasi totale de compréhension du processus de conversion du système immunitaire (qui accepte puis rejette les substances étrangères), certains médecins ont décidé que ce n’était pas comme ça que les choses devaient marcher. Ils ont donc lancé des recherches pour tenter de contraindre le système immunitaire des nourrissons à développer des anticorps suite à la vaccination.

Pour eux, le système immunitaire du bébé aurait donc un défaut inhérent, et ce serait à leur science d’y apporter un remède. Ce remède, ils croient aujourd’hui l’avoir trouvé grâce à un nouvel adjuvant appelé le VTX-294. (2)

 

L’adjuvant VTX-294 : de la cocaïne pour le système immunitaire

Un adjuvant est donc une substance qui augmente la production d’anticorps par le système immunitaire.

Des chercheurs de l’hôpital pour enfants de Boston (3) ont découvert qu’un composé synthétique appelé VTX-294 augmente la production d’interleukine-1 bêta (IL-1β) et d’un facteur de nécrose tumorale (TNF), témoignant d’une forte réaction du système immunitaire.

Les effets du VTX-294 sont particulièrement intéressants sur le sang des nouveau-nés, ce qui en fait un candidat comme adjuvant pour les vaccins qui leur sont destinés.

Mais des voix s’élèvent pour dénoncer ces manipulations dignes de l’apprenti sorcier. En effet, cette forte production d’anticorps déclenche dans le corps du bébé une réaction inflammatoire contraire à la nature et qui pourrait avoir des effets désastreux. (4)

L’inflammation au cours de la grossesse a été identifiée comme étant un facteur important dans le développement de l’autisme. (5) Le facteur de nécrose tumorale (TNF) et l’interleukine-1 bêta (IL-1β), sont des cytokines, et des taux excessifs de cytokines (tempêtes de cytokines) ont été liés à l’autisme. (6,7,8,9) Comment pourrait-on qualifier autrement que « tempête de cytokines » la libération artificielle de cytokines TNF et de IL-1β, dans le sang des nouveau-nés ?

Ainsi, ces réactions inflammatoires déclenchées artificiellement pourraient contribuer à déclencher l’autisme chez les enfants.

 

Une substance proche des anxiolytiques les plus puissants

Le VTX est une benzazépine, un produit chimique proche des benzodiazépines, le nom chimique des anxiolytiques comme le Lexomil, le Diazépam, le Xanax ou le Valium. (10)…

Le benzazépine est en effet formé d’un cycle de benzène et d’un cycle azépine, tandis que les benzodiazépines sont formées d’un cycle de benzène et de deux azépines (ou di-azépine).

Le benzène est un produit toxique associé au cancer, ainsi qu’à des dommages neurologiques, développementaux et de troubles de la reproduction. (11,12,13)

Il est difficile d’imaginer que l’on puisse sérieusement envisager d’injecter un produit dérivé du benzène, produit toxique connu, à des nouveau-nés. Mais pouvait-on imaginer que d’autres produits toxiques connus comme le mercure et le formaldéhyde seraient injectés avec certains vaccins ? C’est pourtant ce qui se passe aujourd’hui en dépit des protestations de nombreux patients et victimes des effets secondaires de ces adjuvants.

 

Un orgueil médical démesuré

La recherche médicale moderne ferait donc l’hypothèse que, pour chaque bébé qui nait, quelque chose ne tourne pas rond.

Cela semble relever de la plus pure arrogance mais c’est pourtant bien à ça que reviennent les tentatives de contourner la nature fondamentale du système immunitaire du bébé.

Ceci est d’autant plus inquiétant que l’expérience nous montre que les adjuvants aux vaccins sont insuffisamment testés. C’est le cas du squalène dont on a récemment montré qu’il augmente le risque de narcolepsie. Il faut aussi mentionner le formaldéhyde (cancérogène), le mercure (neurotoxique), le polysorbate 80 (perturbateur endocrinien), l’aluminium (neurotoxique et peut-être cancérogène). Tous ces produits sont communément utilisés dans les vaccins en dépit de leur toxicité.

Dans la conclusion de l’étude sur le VTX-294, publiée sur le site médical de référence Plos One, il est écrit en toutes lettres :

« VTX-294 is a novel ultra-potent agonist that activates newborn and adult leukocytes and is a candidate vaccine adjuvant in both early life and adulthood. »

Le VTX-294 est un nouvel agoniste TLR8 ultra-puissant qui active les leukocytes des nouveau-nés et des adultes et c’est un candidat pour devenir adjuvant vaccinal pour l’enfance et l’âge adulte » (ma traduction).

Et pourtant, si jamais le VTX-294 devait être utilisé dans les vaccins, nul ne sait s’il ne sera pas capable de perturber le développement normal du système immunitaire, et provoquer le cancer, l’autisme, des anomalies neurologiques, ou créer de nouvelles maladies, telles que la myofasciite à macrophages probablement induite par l’aluminium des vaccins.

Il semble donc que les désastres sanitaires récents n’aient pas suffi à remettre en cause l’orgueil de certains chercheurs. Continueront-ils à prétendre, cette fois, que toutes les vies détruites ne seront encore que de « pures coïncidences » ?

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis

******************************

Sources :

Gaia Health Heidi Stevenson, et Initiative Citoyenne : http://www.initiativecitoyenne.be/article-un-nouvel-adjuvant-vaccinal-cible-les-nouveau-nes-116951728.html

Diffusé par: http://www.elishean.fr/?p=26138

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25 juillet 2014 5 25 /07 /juillet /2014 22:26

Sans la vaccination nous ne serions pratiquement jamais malade.

Dave Mihalovic, The Daily Sheeple

Clair et simple: impossible de croire aux deux à la fois . La commercialisation des vaccins repose sur la peur et l’intimidation qui s’appuient sur l’amplification constante du mythe qui suggère que le corps est mal fait et incapable de se protéger contre des envahisseurs étrangers.

Les êtres humains ont vécu sur la terre pendant des centaines de millénaires, mais en l’espace de seulement d’un siècle, les populations du monde ont été dupées. On leur a fait croire qu’elles ne pourraient plus survivre sur cette planète sans des ADN étrangers et sans l’injection, dans leurs corps, de produits chimiques. Les mensonges ont été répétés si souvent que, pour des milliards d’individus, ils sont devenus la vérité – et quelques soient leurs ressources et leur logique, ces personnes, continueront à défendre leurs croyances jusqu’à ce que vienne le temps de découvrir de nouvelles perspectives. Et bien, ce que nous vous proposons, c’est justement cette nouvelle perspective : si vous croyez aux vaccins, vous ne croyez sûrement pas à la santé naturelle et vous n’avez sûrement pas confiance dans cette merveilleuse perfection du corps humain.

Le corps humain est un fameux cadeau – une machine biologique aux incroyables et multiples fonctions, qui existait bien avant que n’apparaisse nos technologies, et qui a traversé les siècles, les millénaires avec une population sans cesse croissante. Pourtant, cette merveille est constamment sous-estimée, sous évaluée et toujours jugée incapable de réaliser tous ses potentiels. Nous essayons sans cesse de corriger ce que nous ressentons comme ses lacunes. On ne lui permet presque jamais d’utiliser à plein tous ses potentiels et mécanismes de guérison.C’est depuis la naissance que le corps humain est endommagé : nous pensons devoir le remplir de produits chimiques pour qu’il puisse survivre – telle est la philosophie de la médecine traditionnelle.

La médecine allopathique estime que la prévention ne peut être réalisée que grâce au recours de produits chimiques, de médicaments, de vaccins, d’irradiations ; elle croit qu’il faut empoisonner le corps pour traiter la maladie. Ce faisant, elle utilise de mauvais modèles qui s’avèrent être un fléau pour l’humanité comme peut en témoigner l’augmentation croissante des souffrances, de l’invalidité des personnes âgées.

Sont bien entendu aussi à blâmer : l’industrie alimentaire, les niveaux de pollution, les produits de consommation toxiques. Mais, les modèles de traitements médicaux s’adaptent très bien à ce genre de situation et pas nécessairement pour un mieux.

« Le Dr Rebecca Malasky, docteur en médecine orthopédique a déclaré : « Un homme de 65 ans a aujourd’hui environ 15% de masse musculaire en moins, 20% d’endurance cardiovasculaire en moins, 30% de chances supplémentaires de tomber malade, Il est 40% moins actif que son homologue d’il y a à peine 60 ans ».

Le Dr Malasky reconnaît que les êtres humains vivent plus longtemps, mais guère mieux en termes de qualité de vie, tout spécialement si on compare les populations modernes à celles d’il y a à peine 50 ou 70 ans. Ainsi, bien que l’espérance de vie soit plus longue, elle a aussi un coût : « Nos souffrances par rapport aux handicaps et à la douleur ont augmenté d’au moins 8 à 12% par décennie après l’âge de 50 ans », déclare le Dr Malasky.

L’une des prétentions des fabricants de vaccins, c’est que ces derniers augmentent fortement l’espérance de vie ; ils prétendent en effet que les médicaments représentent une des percées médicales les plus importantes de ce dernier siècle en contribuant à nous débarrasser des maladies. C’est là tout juste un autre mythe qui continue à se répandre par la répétition et la programmation neurolinguistique dans les écoles, les médias et les systèmes de soins de santé. La PNL est l’une des méthodes de persuasion les plus faciles et les plus répandues, tout spécialement pour ceux qui n’ont pas encore pris conscience de leur impact sur l’esprit.

Les vaccins ne nous ont jamais sauvés. Les rapports de deux siècles de statistiques officielles peuvent nous donner un aperçu de la manière dont toute une industrie a lancé des campagnes de désinformation pour convaincre les gens que les maladies invalidantes comme la poliomyélite, la rougeole, la variole et autres ont été éradiquées grâce aux vaccins. Ca n’a malheureusement pas été le cas. Ces maladies étaient déjà sur leur déclin avant que n’apparaissent les vaccinations. Les statistiques officielles de mortalité en témoignent. Le tableau 29 est particulièrement pertinent étant donné qu’il montre que les personnes parfaitement vaccinées contre la variole présentaient des taux de mortalité deux fois plus importants que les personnes pratiquement non vaccinées. Les efforts d’assainissement, l’eau potable, les conditions de vies améliorées, une meilleure alimentation, autant d’éléments fondamentaux qui ont contribué au déclin des maladies et NON les vaccins. La chose est également confirmée par les recherches et les publications revues par les pairs.

La vérité fondamentale qui a servi de base à la montagne de mensonges au sujet des vaccinations est l’observation du fait que les mammifères qui se rétablissent d’une infection, acquièrent une immunité naturelle contre de nouvelles infections. La mémoire de l’infection est enregistrée, et la prochaine fois que l’individu rencontre le même antigène, le système immunitaire peut réagir rapidement pour le détruire. C’est ce qu’on appelle l’immunité (la vraie).

Cette vérité a donné naissance à la croyance que si on injecte un antigène étranger à un individu, celui-ci serait alors immunisé contre une infection future. C’est cette croyance que l’on a baptisée « vaccination ». Ce que les promoteurs des vaccins ne semblent pas avoir compris, c’est que les voies respiratoires de tous les mammifères (muqueuses) contiennent des IgA sécrétoires (anticorps qui déclenchent la réponse immunitaire naturelle) dans les muqueuses des voies respiratoires. Contourner ces fonctions essentielles de la muqueuse du système immunitaire en injectant directement les organismes dans le sang conduit à la corruption du système immunitaire lui-même. Il en résultera que les virus pathogènes ou les bactéries ne pourront être correctement éliminés par le système immunitaire et se maintiendront dans le corps où ils pourront proliférer et/ou muter au fur et à mesure que l’individu sera exposé à de plus en plus d’antigènes et de toxines dans l’environnement (et qui agressent également le système immunitaire).

On peut mieux comprendre le mécanisme par lequel le système immunitaire est altéré quand on tient compte que les deux pôles du système immunitaire (les mécanismes humoraux et cellulaires) s’influencent mutuellement. Ainsi quand l’un est stimulé, l’autre est en partie inhibé. Le fait que les vaccins activent les lymphocytes B pour secréter des anticorps, entraîne la suppression d’une partie de la voie des lymphocytes T (lymphocytes cytotoxiques). Cette suppression de la réponse à médiation cellulaire constitue un facteur clé dans le développement du cancer et d’infections qui peuvent être mortelles.

En fait la « prévention » d’une maladie par la vaccination entraîne en réalité une incapacité à expulser les organismes pathogènes en raison de la suppression de la réponse à médiation cellulaire. Ainsi, plutôt que de véritablement prévenir la maladie, les vaccins empêchent effectivement que le problème soit parfaitement et jamais résolu. Ceci est typique du modèle médical qui repose essentiellement sur le traitement des symptômes plutôt que sur celui de la maladie.

Les organismes pathogènes continuent donc à circuler dans le corps, mutant et se transformant en d’autres organismes (comme a pu le démontrer le Professeur Antoine Béchamp) en fonction de l’acidité et de la toxicité du terrain.

Il convient aussi de noter que les vaccins contiennent des ingrédients, des excipients qui contribuent à déprimer le système immunitaire et qui comprennent des agents cancérogènes, neurotoxiques, immunotoxiques, des agents qui agissent sur la fertilité comme le formaldéhyde, le MSG, le polysorbate 80, les détergents, le thimérosal et autres agents toxiques. Le Dr James R. Shannon, ancien directeur de l’Institut National de Santé des Etats-Unis a déclaré en décembre 2003 que « le seul vaccin sûr est celui qui n’a jamais été utilisé ». Le corps est parfait dans son état naturel. Il peut facilement résister aux envahisseurs étrangers, pour autant qu’il dispose d’un terrain favorable à la guérison. Ceci sous-entend une alimentation correcte, de l’eau pure, du soleil, de l’exercice etc. Le corps n’a besoin de rien d’autre sinon d’un peu d’amour. Prenez donc bien soin de votre corps, aimez-le, car aucun vaccin n’est vraiment sûr.

 

Sources : Preventdisease & WakingTimes

 

« L’entreprise médicale est devenue un danger majeur pour la santé… L’infirmité, l’impuissance, l’angoisse et la maladie engendrées par les soins professionnels dans leur ensemble constituent l’épidémie la plus importante qui soit et cependant la moins reconnue » - Ivan ILLICH, Némésis Médicale, pp. 16-17 Ed. Seuil, 1975.

http://expovaccins.over-blog.com/article-si-vous-croyez-aux-vaccins-vous-ne-croyez-pas-a-la-perfection-du-corps-humain-120244227.html 

Diffusé par: http://rustyjames.canalblog.com/archives/2013/09/26/28091567.html

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Dr Kurt : « Pourquoi j'ai choisi de ne plus jamais vacciner mon propre fils et les autres enfants que nous pourrions avoir. » 

 

La vaccination par opposition à l'immunisation

Il est absolument nécessaire de clarifier les termes VACCINATION par rapport à IMMUNISATION. Ce sont les médias et le monde pharmaceutique qui ont influencé le public en leur faisant croire que la vaccination était l'équivalent d'immunisation. En ce qui me concerne, je suis pour l'immunisation. Vacciner c'est le fait d'injecter dessubstances dans le corps. Cette pratique ne crée pas l'immunité. Ce sont deux choses complètement différentes...

La création de l'immunité est un processus naturel. Le corps utilise plusieurs moyens de défense. La première ligne de défense est la peau.C'est elle qui arrête tout ce qui peut être nuisible au corps. Avec un vaccin, cette loi de la nature est complètement ignorée et contournée étant donné que l'on injecte des produits que la peau empêcherait de pénétrer dans le corps.

Nous avons aussi un système respiratoire qui fait aussi partie intégrante des défenses du corps. On tousse, on éternue, on se mouche pour pouvoir expulser l' « envahisseur » potentiel. La toux, les éternuements sont les résultats d'un système immunitaire qui fonctionne. Il ne s'agit pas de réprimer ces réactions avec des antipyrétiques, des antihistaminiques etc. Si vous utilisez ces moyens vous risquez de faciliter le rôle des « envahisseurs ».

Nous disposons aussi du système lymphatique qui, en association avec le travail des intestins, pourra lutter contre des « envahisseurs » plus redoutables.

Si votre système immunitaire est affaibli au point de permettre aux « envahisseurs » de franchir ces barrières, ces derniers, vivants ou morts, pourront pénétrer dans le flux sanguin. Une fois dans le sang, ces « envahisseurs » peuvent atteindre n'importe quel endroit du corps. Pas bon du tout !

Un vaccin viole toutes les lois des défenses immunitaires naturelles. Le vaccin fait pénétrer un pathogène potentiel avec toutes sortes d'ingrédients TOXIQUES (aluminium, formaldéhyde, adjuvants etc.) directement dans le flux sanguin. Ceci ne pourrait jamais se produire avec une immunité naturelle bien construite. Cette dernière phrase est une sorte de contradiction en soi. L'immunité est une chose naturelle. Les vaccins sont des choses artificielles.

Recherche biaisée :

La recherche officielle nous dit que les vaccins sont sûrs et efficaces ; c'est son mantra habituel. Mais cette recherche est biaisée parce qu'elle ne correspond pas aux exigences scientifiques qui s'appliquent aux autres produits. La Règle d'Or de la recherche scientifique est l'étude en double aveugle, randomisée et contrôlée. (RCT).

Cela signifie que les personnes testées doivent être réparties au hasard en deux groupes. Les deux groupes reçoivent soit le véritable produit testé, soit un « faux » produit. On vérifie ensuite quel groupe de personnes se portent le mieux, quel groupe se porte moins bien etc. En théorie, il ne peut y avoir de biais parce que les chercheurs ne savent pas qui fait partie du premier groupe ou du groupe placebo.

Combien de vaccins a-t-on déjà étudiés de cette manière ? AUCUN ! La raison ? Les chercheurs diront qu'ils ne peuvent réaliser pareille étude (avec un groupe vacciné par rapport à un groupe non vacciné) parce qu'ils estiment qu'il serait contraire à l'éthique de ne PAS administrer un vaccin à un enfant. Ils prétendent ne pas vouloir être responsables si un enfant devait mourir d'une maladie qui aurait pu être évitée. Mais s'il arrivait qu'une personne (qui, par exemple, prend des antidépresseurs) meurt au cours de leurs essais, là, il ne semble y avoir aucun problème.

Je dis aux compagnies pharmaceutiques que je me porte volontaire pour que mon enfant soit repris dans un groupe placebo pour que l'on puisse comparer son état de santé avec celui de tous ceux qui ont reçu tous les vaccins recommandés. Je suis aussi certain qu'il serait relativement facile de rassembler quelques centaines de milliers d'enfants supplémentaires qui accepteraient de faire partie du groupe placebo.

Au lieu d'effectuer des recherches pour vérifier la sûreté et l'efficacité des vaccins, ils s'intéressent essentiellement à une chose : est-ce que la personne produit des anticorps par rapport à l'antigène (« l'envahisseur ») qui se trouve dans le vaccin. Si la personne fait des anticorps, alors le vaccin est « sûr » et « efficace ». C'est en tout cas ce qu'ils veulent nous faire croire. Il convient aussi de savoir que les études sont rarement effectuées sur des enfants en-dessous de 4 ans. Comment peut-on prétendre que tel ou tel vaccin soit sûr et efficace pour un bébé si on n'a jamais testé ce vaccin sur des bébés ?

Les deux groupes de personnes qui ont une production limitée d'anticorps sont les nourrissons et les personnes âgées. Or, ce sont précisément ces deux groupes que l'on vaccine le plus [...]

Les bébés ne produisent pas d'anticorps avant 6 mois. Dès lors, pourquoi administrer des vaccins à des nourrissons avant 6 mois s'ils ne peuvent pas produire d'anticorps ? Même si la théorie vaccinale était valable, il serait absolument inutile d'injecter un vaccin à un bébé de moins de 6 mois. Comme le système immunitaire d'un enfant n'est pas mature avant l'âge de deux sans, la surcharge de vaccins avant l'âge de 18 mois paraît complètement absurde.

Les rappels :

Exposer des enfants qui ont à peine 18 mois à 36 vaccins est un autre aspect de cette science de pacotille. A propos des recherches faites sur l'efficacité des vaccins (pendant combien de temps tel ou tel vaccin va-t-il être efficace ?), on n'en a pas la moindre idée. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il existe plusieurs vaccins pour différents antigènes.

Prenons le dernier vaccin contre le HPV pour les jeunes-filles de 12 ans. Ces dernières doivent recevoir 3 injections contre le HPV qui « POURRAIT » (mais la chose n'a jamais été confirmée) contribuer à provoquer un cancer du col de l'utérus.

Le fabricant prétend que le vaccin est efficace pendant 5 ans. Ici le problème est double. 1. L'âge moyen où des personnes font un cancer du col de l'utérus est de 50 ans. 2. Le vaccin est administré à des filles de 12 ans. Nous vivons dans un système qui pousse les jeunes-filles à se faire injecter des vaccins dont l'efficacité dure 5 ans pour une maladie qui, en moyenne, concerne des personnes de 50 ans. Si on administre un vaccin à une fille de 12 ans, que restera-t-il de l'efficacité de ce vaccin quand elle aura 17 ans ? Et on continue de prétendre pouvoir éviter le cancer du col quand elles seront plus âgées ! Et, ce serait moi le charlatan qui dénonce ce problème des vaccins ?

Alors, quels sont les taux d'efficacité des autres vaccins ? Qui le sait ? Ils n'étudient pas cette question ; ils disent qu'il faut d'autres études. Une fois que tel vaccin a été approuvé par la FDA et qu'il est sur le marché, il n'est plus nécessaire d'encore dépenser de l'argent pour étudier ses effets. En lieu et place, on a un « tube à essai » de quatre millions de nouveaux sujets chaque année. Ils peuvent se détendre et même ne jamais s'inquiéter de quelque plainte que ce soit parce que le gouvernement les protège de toute responsabilité.

Comme aucune étude ne peut déterminer avec exactitude la durée d'efficacité des vaccins, il sera possible de recommander sans fin des piqûres de rappel. Les vaccins qui me préoccupent le plus sont les vaccins qui s'administrent en quatre fois. Si les 3 premières injections ne confèrent pas d'immunité, comment peut-on savoir que la dernière injection pourra procurer une immunité à vie ? Pourquoi, par exemple les 2 premières doses d'un vaccin seraient-elles seulement valables pour une année, et comment se ferait-il que la dernière dose soit valable pour une vie entière ? Tout cela nous semble assez arrogant et manquer totalement de logique.

Source: Health Impactnews

Source : Initiativecitoyenne

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25 juillet 2014 5 25 /07 /juillet /2014 22:15

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Medical-Experiment-Vial-Vaccine

les 5 tactiques psychologiques que votre médecin utilise pour vacciner votre enfant

Connaissez-vous les 5 tactiques psychologiques que votre médecin utilise pour vacciner votre enfant ?

Jeffry John Aufderheide,



Beaucoup de médecins souhaitent que les mamans se taisent et se contentent de faire vacciner leur enfant.

Il est cependant bien connu que les médecins utilisent des pressions psychologiques à l’égard des parents qui veulent poser trop de questions sur les vaccins.

Ci-dessous les 5 tactiques psychologiques utilisées contre vous, les parents et quelques suggestions pour ne pas vous faire embobiner.

Tactique psychologique N°1 : le pouvoir de l’autorité

Il s’agit ici de la tactique psychologique la plus puissante.

Les médecins se trouvent dans une position d’autorité – ils ont suivi une longue formation médicale (et vous pas). Ce fait, à lui seul, les situe dans une position unique, et en outre, c’est vous qui payez leurs conseils.

La société en général imagine que les médecins ont une connaissance quasi absolue des informations qui concernent la santé et ce, dans tous les domaines, y compris dans le domaine des vaccins. Mais, la plupart du temps, les médecins se contentent de répéter l’information que leur transmettent les Centres de Contrôle des Maladies et la Food and Drug Administration.

L’hypothèse des médecins est la suivante : si la FDA approuve un médicament et si le CDC le recommande, c’est qu’il doit être sans danger. Il n’est pas impossible que ces médecins n’aient jamais entendu parler des 100.000 décès qui surviennent annuellement en tant qu’effets secondaires des médicaments (approuvés par la FDA). 1

Il semble évident que certains médecins abusent de leur pouvoir. Devriez-vous suivre leurs conseils en ce qui concerne les vaccins ? Après tout pourquoi pas ? Ils portent une blouse blanche ! __ Le pouvoir de l’autorité__

Stanley Milgram a conçu des expériences pour montrer la facilité avec laquelle des gens suivent les ordres qui leur sont donnés mêmes si ces derniers heurtent et violent leurs plus profondes convictions morales. 2

http://www.dailymotion.com/video/x58czd_soumission-a-l-autorite-experience_news

Selon le professeur Michael Cohen, “ affaire après affaire, les patients, les infirmières, les médecins ne remettent jamais en cause les prescriptions.”



Que pouvez-vous faire ?

Il y a d’abord lieu de réaliser que le médecin pourrait ne pas avoir une connaissance aussi étendue sur les vaccins que vous pourriez imaginer, qu’il n’a peut-être pas reçu de formation en vaccinologie. Votre médecin vous enseigne-t-il les meilleurs moyens de rester en bonne santé, comme il se doit, ou se sert-il de sa position pour vous convaincre de faire vacciner votre enfant ?

Les médecins ont autant de pouvoir que vous leur en donnez. Et ils ne peuvent pas vous garantir que le vaccin fonctionnera ou sera sans danger.

Il s’agit de reconnaître que le pouvoir est en VOUS ! C’est VOUS qui avez le pouvoir de dire “oui” ou de dire “non” !

Tactique psychologique N°2: culpabiliser les parents ou leur faire éprouver de la honte

Cette tactique vise à rendre mal à l’aise les parents qui s’autorisent à poser des questions sur les vaccinations. Les parents peuvent faire l’objet de remarques sournoises, se sentir insultés. Le résultat est évidemment prévisible: ces parents se sentiront coupables et honteux d’avoir osé poser leurs questions. Il est également possible que les parents ne reçoivent pas de réponses à leurs questions et acceptent à contre-cœur que leur enfant soit vacciné.

Il est arrivé que des médecins ou des infirmières se permettent de dire des choses particulièrement cruelles aux parents qui s’interrogent sur les vaccinations. Les paroles suivantes ont été rapportées:

Vous êtes un parasite de la société Vous êtes irresponsable Vous êtes de mauvais parents Vous n’êtes pas médecin Sans vaccins, votre enfant ne pourra pas fréquenter l’école Votre enfant mourra s’il ne se fait pas vacciner Vous êtes un obstacle à l’immunité collective Vous bénéficiez de la vaccination des autres sans en payer vous-même le prix Vous êtes intoxiqué par internet Vous ne comprenez rien à la science Vous ne vous souciez nullement de la santé de votre enfant, ni de son avenir. Votre ignorance va permettre la recrudescence des maladies.

Ce que vous pouvez faire

D’abord reconnaître ce comportement pour ce qu’il est: une forme de comportement agressif qui prend sa source dans l’insécurité du médecin. Il s’agit d’un comportement purement émotionnel.

La plupart des mamans se rendent seules avec leur bébé aux consultations. Pourquoi ne pourraient-elles pas demander à leur mari ou à une bonne amie qui partage leur point de vue de les accompagner à la consultation médicale ?

Ci-dessous quelques suggestions de questions à poser éventuellement au pédiatre, en utilisant bien entendu votre propre discernement:

Pourriez-vous lire à haute voix et relever avec moi tous les ingrédients du vaccin que vous vous proposez d’injecter à mon enfant ? Comment la combinaison de ces ingrédients pourra-t-elle contribuer à améliorer la santé de mon enfant? Si les vaccins sont vraiment efficaces, comment mon enfant pourrait-il représenter une menace pour les autres enfants vaccinés? Si les vaccins sont vraiment efficaces, à quoi servent les rappels ? Etant donné que chaque enfant est différent biologiquement comment pouvez-vous savoir quand un vaccin est efficace et quand il ne l’est pas? Comment testez-vous la chose? Quels tests comptez-vous effectuer avant et après la vaccination pour vous assurer que mon enfant ne souffrira pas d’effets secondaires? Si vous injectez plusieurs vaccins à mon enfant, et que celui-ci fait une réaction défavorable, comment pourrez vous identifier le vaccin coupable? Pouvez-vous me montrer les études ayant trait à la sécurité de l’injection en une seule fois de vaccins multiples?

Note: Il est vraisemblable que votre médecin ne puisse vous donner de réponse à ces questions. Il est même probable qu’il se fâche. S’il se met en colère vous pourrez immédiatement vous inspirer de la tactique N°4.

Tactique psychologique N°3 : sens de l’urgence

Si vous n’êtes pas préparé, cette tactique pourrait vous prendre par surprise. Voici comment…

Si vous êtes dans un environnement médical, le cabinet d’un médecin, une maternité, aux urgences, etc. – les médecins pourront utiliser ce truc dans un langage chargé d’émotion pour vous faire accepter de faire vacciner votre enfant. Les infirmières peuvent, elles aussi se montrer agressives; elles peuvent vacciner un bébé à la moindre occasion après la naissance – dans les bras de la maman, quand on lave le bébé ou quand il est circoncis.

Pour quelle raison devriez-vous faire vacciner votre enfant sur le champ? Vous avez le droit de poser des questions pour trouver un maximum d’informations sur la toxicité des produits chimiques et des agents biologiques que l’on veut injecter à votre enfant.

Soyez conscient que votre médecin pourrait utiliser un langage très chargé émotionnellement. Voici quelques trucs psychologiques dont vous devez être conscients quand votre médecin parle des vaccins:

Les vaccins peuvent “sauver des vies” Les vaccins sont “sûrs et efficaces” Les vaccins ne comportent pas de risques, ou alors vraiment très peu. Les vaccins peuvent éviter des “décès”, des “maladies mortelles”, des “handicaps”. Utilisation interchangeable des termes “vaccins” et “immunisation” comme si ces termes avaient la même signification.

Tactique psychologique N°4: peur de perdre l’aide du médecin

Cette crainte de perdre l’assistance du médecin a été une tactique assez répandue parmi les pédiatres.

Cette tactique relativement récente de “virer le patient” trouve son origine chez l’Académie Américaine de Pédiatrie. Voici comment elle fonctionne.

Si des parents s’interrogent sur les vaccins ou posent des questions sur ce que dit le médecin au sujet de la vaccination, ce dernier fera simplement savoir aux parents qu’il ne veut plus être leur médecin.

Cette tactique marche à merveille car elle met les parents dans une situation extrêmement stressante: ou bien ils acceptent que leur enfant soit vacciné sur le champ, ou alors ils peuvent dire au revoir à leur médecin. Il existe heureusement des réponses à ce genre de situation, car il ne s’agit ici, une fois de plus, que de techniques de manipulation et d’intimidation…

Que pouvez-vous faire ?

En tout premier lieu soyez conscients de l’option que vous avez choisie ! Que font les pédiatres ? Ils pèsent et mesurent le bébé - et ils les vaccinent ! Vous parlent-ils d’alimentation, d’hygiène de vie et de bonnes pratiques de santé ? Avez-vous déjà essayé de demander à un pédiatre de vous donner des conseils en matière de nutrition ?

Le Dr Mendelsohn a écrit un livre merveilleux qui peut aider tous les parents à surmonter leurs anxiétés, leurs peurs. Le titre du livre : « Des enfants sains même sans médecin. » 4

Tactique psychologique N°5: promesse d’espoir

Les médecins considèrent les vaccins comme étant des moyens préventifs, comme des protections contre la maladie tout en ne prenant pas suffisamment en compte le rôle majeur que joue une bonne nutrition, une bonne hygiène de vie et un environnement sain, autant d’éléments qui ont cependant joué un rôle décisif dans la décroissance des maladies.

Ils veulent vous faire croire que l’injection de vaccins comprenant de l’aluminium, du formaldéhyde, du MSG, ainsi que des virus cultivés sur des cellules animales pourra protéger vos enfants de la maladie.

Il s’agit bien sûr ici d’une promesse et de faux espoirs. Voici pourquoi… Les médecins appliquent la même stratégie (vaccins) à tous les enfants tout en espérant récolter des résultats identiques. Les parents, eux, savant que tous les enfants sont différents. Les médecins ignoreraient-ils cette réalité?...

Conclusion

Les médecins veulent vous fourguer des vaccins – et nombreux sont ceux qui utilisent les tactiques dont on vient de parler. Certains ne sont pas conscients de leurs propres manipulations. Mais les parents qui ne se doutent de rien sont d’autant plus vulnérables à ces pressions.

La seule manière de ne pas être affecté par ces tactiques psychologiques est de devenir des parents bien informés – quantités de livres existent, comme aussi les notices propres à chaque vaccin. Au mieux, les parents seront informés au plus grandira leur courage et leur confiance pour faire face à des médecins qui sont dans l’émotionnel.

Références

http://www.fda.gov/Drugs/DevelopmentApprovalProcess/DevelopmentResources/DrugInteractionsLabeling/ucm114848.htm

http://en.wikipedia.org/wiki/Milgram_experiment

Cialdini, Robert (2007). Influence. The Psychology of Persuasion. HarperCollins Publishers. Pg. 219-220.

Mendelsohn, Robert (1987). How to Raise a Healthy Child In Spite of Your Doctor. Random House Publishing. (version française du livre lisible gratuitement ici)

Conclusions de Stanley Milgram

« La conscience est la principale clé permettant de contrecarrer les abus d'autorité. La développer et la nettoyer des fonctionnements parasitaires de la conscience fausse entraîne le déploiement du discernement et de la solidarité dans une société où une majorité de personnes, quelque soient les mensonges qu'elles se racontent à elles-mêmes, dans leur for intérieur, aspirent à la paix et à l'harmonie. »


Source:expo vaccins 

Diffusé par: http://rustyjames.canalblog.com/archives/2013/09/24/28079825.html 

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