Dave Mihalovic, The Daily Sheeple
Clair et simple: impossible de croire aux deux à la fois . La commercialisation des vaccins repose sur la peur et l’intimidation qui s’appuient sur l’amplification constante du mythe qui suggère que le corps est mal fait et incapable de se protéger contre des envahisseurs étrangers.
Les êtres humains ont vécu sur la terre pendant des centaines de millénaires, mais en l’espace de seulement d’un siècle, les populations du monde ont été dupées. On leur a fait croire qu’elles ne pourraient plus survivre sur cette planète sans des ADN étrangers et sans l’injection, dans leurs corps, de produits chimiques. Les mensonges ont été répétés si souvent que, pour des milliards d’individus, ils sont devenus la vérité – et quelques soient leurs ressources et leur logique, ces personnes, continueront à défendre leurs croyances jusqu’à ce que vienne le temps de découvrir de nouvelles perspectives. Et bien, ce que nous vous proposons, c’est justement cette nouvelle perspective : si vous croyez aux vaccins, vous ne croyez sûrement pas à la santé naturelle et vous n’avez sûrement pas confiance dans cette merveilleuse perfection du corps humain.
Le corps humain est un fameux cadeau – une machine biologique aux incroyables et multiples fonctions, qui existait bien avant que n’apparaisse nos technologies, et qui a traversé les siècles, les millénaires avec une population sans cesse croissante. Pourtant, cette merveille est constamment sous-estimée, sous évaluée et toujours jugée incapable de réaliser tous ses potentiels. Nous essayons sans cesse de corriger ce que nous ressentons comme ses lacunes. On ne lui permet presque jamais d’utiliser à plein tous ses potentiels et mécanismes de guérison.C’est depuis la naissance que le corps humain est endommagé : nous pensons devoir le remplir de produits chimiques pour qu’il puisse survivre – telle est la philosophie de la médecine traditionnelle.
La médecine allopathique estime que la prévention ne peut être réalisée que grâce au recours de produits chimiques, de médicaments, de vaccins, d’irradiations ; elle croit qu’il faut empoisonner le corps pour traiter la maladie. Ce faisant, elle utilise de mauvais modèles qui s’avèrent être un fléau pour l’humanité comme peut en témoigner l’augmentation croissante des souffrances, de l’invalidité des personnes âgées.
Sont bien entendu aussi à blâmer : l’industrie alimentaire, les niveaux de pollution, les produits de consommation toxiques. Mais, les modèles de traitements médicaux s’adaptent très bien à ce genre de situation et pas nécessairement pour un mieux.
« Le Dr Rebecca Malasky, docteur en médecine orthopédique a déclaré : « Un homme de 65 ans a aujourd’hui environ 15% de masse musculaire en moins, 20% d’endurance cardiovasculaire en moins, 30% de chances supplémentaires de tomber malade, Il est 40% moins actif que son homologue d’il y a à peine 60 ans ».
Le Dr Malasky reconnaît que les êtres humains vivent plus longtemps, mais guère mieux en termes de qualité de vie, tout spécialement si on compare les populations modernes à celles d’il y a à peine 50 ou 70 ans. Ainsi, bien que l’espérance de vie soit plus longue, elle a aussi un coût : « Nos souffrances par rapport aux handicaps et à la douleur ont augmenté d’au moins 8 à 12% par décennie après l’âge de 50 ans », déclare le Dr Malasky.
L’une des prétentions des fabricants de vaccins, c’est que ces derniers augmentent fortement l’espérance de vie ; ils prétendent en effet que les médicaments représentent une des percées médicales les plus importantes de ce dernier siècle en contribuant à nous débarrasser des maladies. C’est là tout juste un autre mythe qui continue à se répandre par la répétition et la programmation neurolinguistique dans les écoles, les médias et les systèmes de soins de santé. La PNL est l’une des méthodes de persuasion les plus faciles et les plus répandues, tout spécialement pour ceux qui n’ont pas encore pris conscience de leur impact sur l’esprit.
Les vaccins ne nous ont jamais sauvés. Les rapports de deux siècles de statistiques officielles peuvent nous donner un aperçu de la manière dont toute une industrie a lancé des campagnes de désinformation pour convaincre les gens que les maladies invalidantes comme la poliomyélite, la rougeole, la variole et autres ont été éradiquées grâce aux vaccins. Ca n’a malheureusement pas été le cas. Ces maladies étaient déjà sur leur déclin avant que n’apparaissent les vaccinations. Les statistiques officielles de mortalité en témoignent. Le tableau 29 est particulièrement pertinent étant donné qu’il montre que les personnes parfaitement vaccinées contre la variole présentaient des taux de mortalité deux fois plus importants que les personnes pratiquement non vaccinées. Les efforts d’assainissement, l’eau potable, les conditions de vies améliorées, une meilleure alimentation, autant d’éléments fondamentaux qui ont contribué au déclin des maladies et NON les vaccins. La chose est également confirmée par les recherches et les publications revues par les pairs.
La vérité fondamentale qui a servi de base à la montagne de mensonges au sujet des vaccinations est l’observation du fait que les mammifères qui se rétablissent d’une infection, acquièrent une immunité naturelle contre de nouvelles infections. La mémoire de l’infection est enregistrée, et la prochaine fois que l’individu rencontre le même antigène, le système immunitaire peut réagir rapidement pour le détruire. C’est ce qu’on appelle l’immunité (la vraie).
Cette vérité a donné naissance à la croyance que si on injecte un antigène étranger à un individu, celui-ci serait alors immunisé contre une infection future. C’est cette croyance que l’on a baptisée « vaccination ». Ce que les promoteurs des vaccins ne semblent pas avoir compris, c’est que les voies respiratoires de tous les mammifères (muqueuses) contiennent des IgA sécrétoires (anticorps qui déclenchent la réponse immunitaire naturelle) dans les muqueuses des voies respiratoires. Contourner ces fonctions essentielles de la muqueuse du système immunitaire en injectant directement les organismes dans le sang conduit à la corruption du système immunitaire lui-même. Il en résultera que les virus pathogènes ou les bactéries ne pourront être correctement éliminés par le système immunitaire et se maintiendront dans le corps où ils pourront proliférer et/ou muter au fur et à mesure que l’individu sera exposé à de plus en plus d’antigènes et de toxines dans l’environnement (et qui agressent également le système immunitaire).
On peut mieux comprendre le mécanisme par lequel le système immunitaire est altéré quand on tient compte que les deux pôles du système immunitaire (les mécanismes humoraux et cellulaires) s’influencent mutuellement. Ainsi quand l’un est stimulé, l’autre est en partie inhibé. Le fait que les vaccins activent les lymphocytes B pour secréter des anticorps, entraîne la suppression d’une partie de la voie des lymphocytes T (lymphocytes cytotoxiques). Cette suppression de la réponse à médiation cellulaire constitue un facteur clé dans le développement du cancer et d’infections qui peuvent être mortelles.
En fait la « prévention » d’une maladie par la vaccination entraîne en réalité une incapacité à expulser les organismes pathogènes en raison de la suppression de la réponse à médiation cellulaire. Ainsi, plutôt que de véritablement prévenir la maladie, les vaccins empêchent effectivement que le problème soit parfaitement et jamais résolu. Ceci est typique du modèle médical qui repose essentiellement sur le traitement des symptômes plutôt que sur celui de la maladie.
Les organismes pathogènes continuent donc à circuler dans le corps, mutant et se transformant en d’autres organismes (comme a pu le démontrer le Professeur Antoine Béchamp) en fonction de l’acidité et de la toxicité du terrain.
Il convient aussi de noter que les vaccins contiennent des ingrédients, des excipients qui contribuent à déprimer le système immunitaire et qui comprennent des agents cancérogènes, neurotoxiques, immunotoxiques, des agents qui agissent sur la fertilité comme le formaldéhyde, le MSG, le polysorbate 80, les détergents, le thimérosal et autres agents toxiques. Le Dr James R. Shannon, ancien directeur de l’Institut National de Santé des Etats-Unis a déclaré en décembre 2003 que « le seul vaccin sûr est celui qui n’a jamais été utilisé ». Le corps est parfait dans son état naturel. Il peut facilement résister aux envahisseurs étrangers, pour autant qu’il dispose d’un terrain favorable à la guérison. Ceci sous-entend une alimentation correcte, de l’eau pure, du soleil, de l’exercice etc. Le corps n’a besoin de rien d’autre sinon d’un peu d’amour. Prenez donc bien soin de votre corps, aimez-le, car aucun vaccin n’est vraiment sûr.
Sources : Preventdisease & WakingTimes
« L’entreprise médicale est devenue un danger majeur pour la santé… L’infirmité, l’impuissance, l’angoisse et la maladie engendrées par les soins professionnels dans leur ensemble constituent l’épidémie la plus importante qui soit et cependant la moins reconnue » - Ivan ILLICH, Némésis Médicale, pp. 16-17 Ed. Seuil, 1975.
Diffusé par: http://rustyjames.canalblog.com/archives/2013/09/26/28091567.html
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
La vaccination par opposition à l'immunisation
Il est absolument nécessaire de clarifier les termes VACCINATION par rapport à IMMUNISATION. Ce sont les médias et le monde pharmaceutique qui ont influencé le public en leur faisant croire que la vaccination était l'équivalent d'immunisation. En ce qui me concerne, je suis pour l'immunisation. Vacciner c'est le fait d'injecter dessubstances dans le corps. Cette pratique ne crée pas l'immunité. Ce sont deux choses complètement différentes...
La création de l'immunité est un processus naturel. Le corps utilise plusieurs moyens de défense. La première ligne de défense est la peau.C'est elle qui arrête tout ce qui peut être nuisible au corps. Avec un vaccin, cette loi de la nature est complètement ignorée et contournée étant donné que l'on injecte des produits que la peau empêcherait de pénétrer dans le corps.
Nous avons aussi un système respiratoire qui fait aussi partie intégrante des défenses du corps. On tousse, on éternue, on se mouche pour pouvoir expulser l' « envahisseur » potentiel. La toux, les éternuements sont les résultats d'un système immunitaire qui fonctionne. Il ne s'agit pas de réprimer ces réactions avec des antipyrétiques, des antihistaminiques etc. Si vous utilisez ces moyens vous risquez de faciliter le rôle des « envahisseurs ».
Nous disposons aussi du système lymphatique qui, en association avec le travail des intestins, pourra lutter contre des « envahisseurs » plus redoutables.
Si votre système immunitaire est affaibli au point de permettre aux « envahisseurs » de franchir ces barrières, ces derniers, vivants ou morts, pourront pénétrer dans le flux sanguin. Une fois dans le sang, ces « envahisseurs » peuvent atteindre n'importe quel endroit du corps. Pas bon du tout !
Un vaccin viole toutes les lois des défenses immunitaires naturelles. Le vaccin fait pénétrer un pathogène potentiel avec toutes sortes d'ingrédients TOXIQUES (aluminium, formaldéhyde, adjuvants etc.) directement dans le flux sanguin. Ceci ne pourrait jamais se produire avec une immunité naturelle bien construite. Cette dernière phrase est une sorte de contradiction en soi. L'immunité est une chose naturelle. Les vaccins sont des choses artificielles.
Recherche biaisée :
La recherche officielle nous dit que les vaccins sont sûrs et efficaces ; c'est son mantra habituel. Mais cette recherche est biaisée parce qu'elle ne correspond pas aux exigences scientifiques qui s'appliquent aux autres produits. La Règle d'Or de la recherche scientifique est l'étude en double aveugle, randomisée et contrôlée. (RCT).
Cela signifie que les personnes testées doivent être réparties au hasard en deux groupes. Les deux groupes reçoivent soit le véritable produit testé, soit un « faux » produit. On vérifie ensuite quel groupe de personnes se portent le mieux, quel groupe se porte moins bien etc. En théorie, il ne peut y avoir de biais parce que les chercheurs ne savent pas qui fait partie du premier groupe ou du groupe placebo.
Combien de vaccins a-t-on déjà étudiés de cette manière ? AUCUN ! La raison ? Les chercheurs diront qu'ils ne peuvent réaliser pareille étude (avec un groupe vacciné par rapport à un groupe non vacciné) parce qu'ils estiment qu'il serait contraire à l'éthique de ne PAS administrer un vaccin à un enfant. Ils prétendent ne pas vouloir être responsables si un enfant devait mourir d'une maladie qui aurait pu être évitée. Mais s'il arrivait qu'une personne (qui, par exemple, prend des antidépresseurs) meurt au cours de leurs essais, là, il ne semble y avoir aucun problème.
Je dis aux compagnies pharmaceutiques que je me porte volontaire pour que mon enfant soit repris dans un groupe placebo pour que l'on puisse comparer son état de santé avec celui de tous ceux qui ont reçu tous les vaccins recommandés. Je suis aussi certain qu'il serait relativement facile de rassembler quelques centaines de milliers d'enfants supplémentaires qui accepteraient de faire partie du groupe placebo.
Au lieu d'effectuer des recherches pour vérifier la sûreté et l'efficacité des vaccins, ils s'intéressent essentiellement à une chose : est-ce que la personne produit des anticorps par rapport à l'antigène (« l'envahisseur ») qui se trouve dans le vaccin. Si la personne fait des anticorps, alors le vaccin est « sûr » et « efficace ». C'est en tout cas ce qu'ils veulent nous faire croire. Il convient aussi de savoir que les études sont rarement effectuées sur des enfants en-dessous de 4 ans. Comment peut-on prétendre que tel ou tel vaccin soit sûr et efficace pour un bébé si on n'a jamais testé ce vaccin sur des bébés ?
Les deux groupes de personnes qui ont une production limitée d'anticorps sont les nourrissons et les personnes âgées. Or, ce sont précisément ces deux groupes que l'on vaccine le plus [...]
Les bébés ne produisent pas d'anticorps avant 6 mois. Dès lors, pourquoi administrer des vaccins à des nourrissons avant 6 mois s'ils ne peuvent pas produire d'anticorps ? Même si la théorie vaccinale était valable, il serait absolument inutile d'injecter un vaccin à un bébé de moins de 6 mois. Comme le système immunitaire d'un enfant n'est pas mature avant l'âge de deux sans, la surcharge de vaccins avant l'âge de 18 mois paraît complètement absurde.
Les rappels :
Exposer des enfants qui ont à peine 18 mois à 36 vaccins est un autre aspect de cette science de pacotille. A propos des recherches faites sur l'efficacité des vaccins (pendant combien de temps tel ou tel vaccin va-t-il être efficace ?), on n'en a pas la moindre idée. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il existe plusieurs vaccins pour différents antigènes.
Prenons le dernier vaccin contre le HPV pour les jeunes-filles de 12 ans. Ces dernières doivent recevoir 3 injections contre le HPV qui « POURRAIT » (mais la chose n'a jamais été confirmée) contribuer à provoquer un cancer du col de l'utérus.
Le fabricant prétend que le vaccin est efficace pendant 5 ans. Ici le problème est double. 1. L'âge moyen où des personnes font un cancer du col de l'utérus est de 50 ans. 2. Le vaccin est administré à des filles de 12 ans. Nous vivons dans un système qui pousse les jeunes-filles à se faire injecter des vaccins dont l'efficacité dure 5 ans pour une maladie qui, en moyenne, concerne des personnes de 50 ans. Si on administre un vaccin à une fille de 12 ans, que restera-t-il de l'efficacité de ce vaccin quand elle aura 17 ans ? Et on continue de prétendre pouvoir éviter le cancer du col quand elles seront plus âgées ! Et, ce serait moi le charlatan qui dénonce ce problème des vaccins ?
Alors, quels sont les taux d'efficacité des autres vaccins ? Qui le sait ? Ils n'étudient pas cette question ; ils disent qu'il faut d'autres études. Une fois que tel vaccin a été approuvé par la FDA et qu'il est sur le marché, il n'est plus nécessaire d'encore dépenser de l'argent pour étudier ses effets. En lieu et place, on a un « tube à essai » de quatre millions de nouveaux sujets chaque année. Ils peuvent se détendre et même ne jamais s'inquiéter de quelque plainte que ce soit parce que le gouvernement les protège de toute responsabilité.
Comme aucune étude ne peut déterminer avec exactitude la durée d'efficacité des vaccins, il sera possible de recommander sans fin des piqûres de rappel. Les vaccins qui me préoccupent le plus sont les vaccins qui s'administrent en quatre fois. Si les 3 premières injections ne confèrent pas d'immunité, comment peut-on savoir que la dernière injection pourra procurer une immunité à vie ? Pourquoi, par exemple les 2 premières doses d'un vaccin seraient-elles seulement valables pour une année, et comment se ferait-il que la dernière dose soit valable pour une vie entière ? Tout cela nous semble assez arrogant et manquer totalement de logique.
Source: Health Impactnews
Source : Initiativecitoyenne
Diffusé par: http://rustyjames.canalblog.com/archives/2014/03/04/29359258.html