Il a commencé par expliquer comment cela fonctionne à l'échelle des 50 à 65 billions de cellules qui composent le corps humain. Il a démontré comment une cellule peut fonctionner sans ADN et comment ses perceptions des stimuli ambiants peuvent influencer l'ADN. Il a ensuite étendu les mêmes idées à l'ensemble du corps humain, démontrant l'impact de nos perceptions et croyances sur l'ADN.
Ce qui suit est une version condensée de la pensée de Lipton. Vous pouvez voir son documentaire ci-dessous pour plus d'informations.
Explication en 5 étapes
1. La cellule est comme un corps humain et fonctionne sans ADN
Une cellule est semblable à un corps humain. Il a la capacité de respirer, de digérer, de se reproduire et d'effectuer d'autres processus vitaux. Le noyau, qui abrite les gènes, a longtemps été considéré comme le centre de contrôle de la cellule, son cerveau.
Lorsque le noyau est parti, cependant, la cellule continue de fonctionner normalement pendant un mois ou plus et peut encore détecter des poisons et des nutriments. Le noyau – et l'ADN qu'il contient – semble n'avoir aucun contrôle sur la cellule.
Il y a environ 50 ans, les scientifiques ont conclu que les gènes étaient responsables de la biologie. "Cela semblait tellement correct, nous avons acheté l'histoire", a déclaré Lipton. "Nous n'avons pas les bonnes hypothèses."
2. L'ADN est contrôlé par l'environnement
Les protéines sont les éléments constitutifs de la vie et effectuent les opérations des cellules. On a longtemps cru que l'ADN régulait ou déterminait les fonctions des protéines.
Un modèle différent est proposé par Lipton. Les protéines réceptrices de la membrane cellulaire détectent les signaux environnementaux qui entrent en interaction avec la membrane. Cela déclenche une réaction en chaîne dans laquelle les protéines envoient des signaux à d'autres protéines, provoquant la réaction de la cellule.
L'ADN est enfermé dans un manchon protéique protecteur. Les signaux environnementaux provoquent l'ouverture de cette protéine et la sélection de gènes spécifiques à utiliser, des gènes nécessaires pour répondre à l'environnement actuel.
Essentiellement, l'ADN n'est pas le début de la réaction en chaîne. Au contraire, la perception de l'environnement par la membrane cellulaire est la première étape.
L'ADN est en sommeil s'il n'y a pas de sensations.
"Les gènes ne peuvent pas s'activer ou se désactiver... ils ne peuvent pas se contrôler", a expliqué Lipton. Si une cellule n'est exposée à aucun stimulus externe, elle n'accomplira rien. "La vie est due à la façon dont la cellule réagit à l'environnement."
3. La perception de l'environnement n'est pas nécessairement la réalité de l'environnement
"L'origine des mutants", un article de 1988 de John Cairns publié dans la revue Nature, a été mentionné par Lipton. Cairns a démontré que les mutations de l'ADN ne sont vraiment pas arbitraires, mais se produisent selon un schéma prévisible en réaction aux pressions environnementales.
"Dans chacune de vos cellules, vous avez des gènes dont la fonction est de réécrire et d'adapter les gènes si nécessaire", a ajouté Lipton. Les signaux environnementaux se sont avérés indépendants de la perception des signaux environnementaux par l'organisme dans un tableau publié dans la revue de Cairns.
Entre l'actualité de l'environnement et la réponse biologique à celui-ci, la perception qu'a l'être de l'environnement fonctionne comme un filtre.
"La perception réécrit les gènes", a déclaré Lipton.
4. Croyances humaines, choisir de percevoir un environnement positif ou négatif
Les humains ont cinq sens, similaires à la façon dont les cellules ont des protéines réceptrices qui leur permettent de voir l'environnement en dehors de leur membrane cellulaire.
C'est ce qui permet à une personne de déterminer quels gènes doivent être activés dans une situation spécifique.
Selon Lipton, les gènes sont similaires au code sur un disque informatique. Ces programmes sont classés en deux catégories : la première est destinée à la croissance ou à la reproduction, et la seconde à la protection.
Les gènes de croissance sont déclenchés et utilisés lorsqu'une cellule entre en contact avec des nutriments. Lorsqu'une cellule entre en contact avec des toxines, les gènes de défense de la cellule sont déclenchés et utilisés.
Lorsqu'une personne est amoureuse, ses gènes de croissance se déclenchent. Lorsqu'une personne est confrontée à la peur, les gènes protecteurs entrent en jeu.
Lorsqu'une personne perçoit un environnement négatif, il peut y avoir un environnement favorable ou positif présent. Le corps réagit en passant en mode combat ou fuite lorsque cette impression désagréable active les gènes protecteurs.
5. Combat ou fuite
Le flux sanguin est détourné des organes essentiels vers les membres, qui sont utilisés pour le combat et le sprint. L'importance du système immunitaire diminue. Si vous pensez aux réactions que nous avions l'habitude d'avoir en fuyant un lion, par exemple, les jambes auraient été bien plus essentielles que le système immunitaire dans cette circonstance. En conséquence, le corps donne la priorité aux jambes tout en ignorant le système immunitaire.
En conséquence, lorsqu'une personne vit dans un mauvais environnement, le système immunitaire et les organes essentiels sont souvent négligés. Nous devenons moins intelligents et lucides à cause du stress. En mode combat ou fuite, la région du cerveau qui contrôle les réflexes a priorité sur la partie qui contrôle la mémoire et les autres activités mentales.
Le corps stimule les gènes de croissance et nourrit le corps chaque fois qu'une personne fait l'expérience d'un environnement stimulant.
Lipton a utilisé l'exemple des orphelinats en Europe de l'Est, où les enfants reçoivent beaucoup de nourriture mais très peu d'affection. Il a été prouvé que la croissance des enfants dans ces établissements est retardée en termes de taille, d'apprentissage et d'autres aspects. Il y a aussi un taux élevé d'autisme dans la région. L'autisme, selon Lipton, est une manifestation du déclenchement de gènes protecteurs, semblable à la construction de barrières.
"Les croyances agissent comme un filtre entre l'environnement réel et votre biologie", a-t-il expliqué. En conséquence, les gens possèdent la capacité de modifier leur biologie. Il est essentiel de maintenir une perception claire, a-t-il dit, car sinon vous ne construiriez pas les réponses biologiques appropriées à l'environnement du monde réel.
Il a dit au public : « Vous n'êtes pas victime de gènes », et leur a demandé de réfléchir : « Avec quelles croyances sélectionnez-vous des gènes ?
Traduction automatique Google
Source: https://greatgameindia.com/thoughts-control-dna/
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Voir également:
Cristalain.
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