Le mépris et le mensonge assumés : contre-discours du 22 mars 2023 (7mn30)

https://crowdbunker.com/v/sUGaBG5bAA4

https://odysee.com/@jeremiemercier:0/le-m%C3%A9pris-et-le-mensonge-assum%C3%A9s:1

T'es où ? T'es au soleil avec maman mon lascar ! (12mn)

https://crowdbunker.com/v/2xbTbwigCR

https://odysee.com/@torobravo:1/Restez-couche%CC%81s-!-(e%CC%81pisode-102)--Protection-rapproche%CC%81e-_20-mars-2023:e

Cristalain.

"La Commission Européenne propose de porter l’âge du départ à la retraite à 70 ans" avertit Marc Botenga !

On y arrive… 

"La Commission européenne propose de porter l’âge du départ à la retraite à 70 ans" avertit Marc Botenga. 

Et avec l'inflation et la baisse du pouvoir d'achat, il faudra sans doute cumuler deux emplois pour pouvoir survivre ! 

Elle pas belle la vie proposée par les Mondialistes qui se déplacent qu'en jets privés ?

La Mort sera la Délivrance ! 

En même temps qu'on organise le sommet social à Porto " on détruit des acquis sociaux " Marc Botenga (1mn)

https://www.youtube.com/watch?v=9VEGVU7XxgI&ab_channel=PublicS%C3%A9nat

Voir aussi:

https://twitter.com/LesPatriotes_75/status/1637765083056025601

https://www.publicsenat.fr/article/politique/la-commission-europeenne-propose-de-porter-l-age-du-depart-a-la-retraite-a-70-ans

Source: https://www.businessbourse.com/2023/03/20/on-y-arrive-la-commission-europeenne-propose-de-porter-lage-du-depart-a-la-retraite-a-70-ans-avertit-marc-botenga-la-mort-sera-la-delivrance/

Partagé par:https://changera4.blogspot.com/2023/03/lue-propose-lesclavage-jusqua-70-ans.html

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Voir également: https://t.me/trottasilvano/29794

La seule solution, pour retrouver, justice souveraineté et paix sociale;

La destitution et le Frexit...

Cristalain.

EXCLUSIF: XAVIER MOREAU RÉPOND AUX QUESTIONS DE FRANÇOIS ASSELINEAU SUR LA SITUATION DE LA RUSSIE (1h16mn)

https://www.youtube.com/watch?v=g_cgWHFZNiU&ab_channel=AfriqueM%C3%A9dia

Voir aussi:

STRATPOL: Bulletin N°125. Prigojine président ! Bachar à Moscou, Russophilie - 17/03/23 (36mn23)

https://crowdbunker.com/v/1onNwPTWxh

Cristalain.

(Exclusif) Alexandre Juving-Brunet fait le bilan après 111 jours passés en détention (1h)

https://www.youtube.com/watch?v=vWXuCY105VM&ab_channel=MagazineNexus

Ancien capitaine de gendarmerie, ancien Saint cyrien, candidat à l'élection présidentielle, l'homme âgé de 41 ans avait été mis en examen pour « escroquerie en bande organisée ».

La banque de France lui reprochait son projet du « franc libre » et d'avoir « voulu frapper monnaie », projet qu'il avait lancé à l'été 2022. 4.500 personnes avaient souscrit à cette monnaie non autorisée, pour un total de 1,3 million d'euros.

Deux jours après être sorti de la maison d'arrêt de Draguignan, Alexandre Juving-Brunet vient d'accorder une interview exclusive au magazine Nexus.

Dans cet entretien d'une heure, l'homme - toujours sous contrôle judiciaire – défend notamment d'avoir cherché à « faire basculer l'État français ».

Voir également:

http://cristalain.over-blog.fr/2022/05/alexandre-juving-brunet-les-russes-ne-sont-pas-nos-ennemis-10/05/2022.html

http://cristalain.over-blog.fr/2022/12/la-france-est-une-terre-de-complot-alexandre-juving-brunet-et-marc-daoud-21/12/2022.html

Cristalain.

Quelques jours avant la Mort du Vrai Biden, un Agent des Services Secrets découvre que Biden est maintenu en Vie avec de l'Adrénochrome !

Un agent des services secrets chargé de protéger l'extérieur de la maison de Joseph Biden dans le Delaware s'est arrêté dans son élan alors qu'un cri indicible, le gémissement de la mort, émanait de l'intérieur de la maison. 

Il a parlé dans un microphone dissimulé dans un bouton de manchette : "Celtic en difficulté, en train d'entrer dans la maison". 

Un instant plus tard, une voix grésille à son oreille. 

"N'entrez pas dans la chambre. La situation est stable." 
Mais il est trop tard. L'agent avait dégainé son arme et foncé, son visage pâlissant au moment de franchir le seuil. Une odeur âcre lui assaillit les narines. Sur le lit gisait la coquille flétrie d'un homme qui ressemblait et ne ressemblait pas à Biden, un torse nu pressé contre un matelas, les bras écartés comme des ailes, un gargouillis guttural s'échappant de lèvres desséchées. Un tube de polyéthylène relie un bras atrophié à une poche d'intraveineuse située à côté d'une batterie de machines de diagnostic qui surveillent les signes vitaux de Biden. Une touffe de cheveux gris et cassants reposait sur l'oreiller où était posée sa tête, légèrement inclinée sur le côté. 

La forme du lit semblait émaciée et déshydratée, presque desséchée, comme un pruneau séché. 

Ses joues creuses palpitaient tandis que sa bouche laissait échapper un murmure à peine perceptible : "Bonbon". 
L'agent des services secrets est abasourdi. 

Sa mâchoire se décroche et ses yeux s'écarquillent. 

Il avait été chargé de garder le président des États-Unis - un grand honneur au sein des services secrets - qui était censé être posé, stoïque, royal, digne, articulé, résolu et en bonne santé, mais il n'avait vu qu'une maigre carcasse malade qui ne pouvait même pas se lever de son lit ; elle pouvait à peine parler, et lorsqu'elle le faisait, elle répétait le même mot d'une seule syllabe : Candy (bonbon). 

Les yeux tristes et enfoncés de la faible personne regardaient l'agent, sa bouche marmonnant "candy" à trois reprises avant qu'un autre agent des services secrets, accompagné de Jill Biden et d'un médecin, ne fasse irruption dans la chambre, réprimandant l'agent présent pour avoir désobéi aux instructions de ne pas pénétrer dans la maison. 
"Je ne comprends pas ce qui se passe ici", a déclaré l'agent. 

"Je suis entré dans la chambre avant d'avoir reçu le message de ne pas le faire. 

Quelqu'un peut-il me dire ce qui se passe ?" demande l'Agent, Andrew Cunningham. 
Nous sommes le 5 avril 2021 et la Covid-mania s'est emparée du pays. Quarante-deux États et territoires avaient émis des ordonnances de maintien à domicile, fermant des entreprises et interrompant brutalement la vie telle que nous la connaissions. 

L'obligation de porter des masques et de se faire vacciner s'est répandue comme une traînée de poudre dans tout le pays, et les personnes qui refusaient de se plier aux exigences anticonstitutionnelles du gouvernement étaient traitées comme si elles avaient la lèpre, mises à l'écart par les fous vaccinés qui adhéraient à l'idée du régime. 

L'économie était en faillite, les gens craignaient de sortir, et Biden s'était retiré dans la chambre à coucher de sa maison du Delaware. 
L'agent Andrew Cunningham fait partie des services secrets depuis huit ans. Après le lycée, il a fréquenté l'université d'État de l'Arizona et obtenu une licence en justice pénale. Après avoir obtenu son diplôme, il a postulé pour un emploi au sein des Services Secrets et a passé avec succès les contrôles d'habilitation de sécurité "Top-Secret" nécessaires à son embauche. La plupart des gens le considèrent comme un homme sain, aux valeurs conservatrices (Républicaines), avec une femme et un enfant, un autre en route, une maison, une hypothèque et un chien - il croit en la démocratie et veut servir son pays. 
Il est entré dans les Services Secrets en tant que GS-7, le niveau de salaire de base du gouvernement, et a excellé dans le leadership pratique et l'adresse au tir, suscitant l'envie de ses pairs. 

Un an après avoir obtenu son diplôme de l'école de formation intensive de quatre mois des Services Secrets au Federal Law Enforcement Center, M. Cunningham a été promu au grade GS-9 et a commencé à protéger les dignitaires étrangers en visite aux États-Unis. 

En mars 2019, il faisait partie d'un détachement chargé de protéger le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui était venu aux États-Unis pour voir le Président Trump à Washington. 

Il a pu leur serrer la main, et il dira plus tard que serrer la main du Président Trump a été un honneur incommensurable et que le Président projetait une aura incassable et étincelante de droiture et de force. 
 

Lorsque la pandémie a frappé et que le monde a commencé à s'effondrer sur lui-même, Cunningham a passé plus de temps à son bureau qu'à escorter des chefs d'État, à se tourner les pouces et à passer au crible de la paperasserie sans intérêt. Le travail sur le terrain lui manquait. 
 

Les élections présidentielles ont eu lieu. Une grande partie du pays est devenue folle à cause de quelques milliers de partisans de Trump qui protestaient pacifiquement contre une élection volée. 

Et Cunningham allait bientôt représenter un homme qu'il méprisait, une bête décrépite tellement ancrée dans l'État Profond, tellement entourée de coffres remplis à l'infini d'argent sale, que sa victoire bidon sur Trump était pratiquement acquise d'avance. 

Bien que Cunningham détestait Biden, son poste lui interdisait de dénigrer publiquement le Président, même un faux. La paperasserie semblait soudain préférable à la rencontre d'un homme qu'il détestait au-delà de ce qu'il pouvait exprimer. 
Le 4 avril 2021, Cunningham reçoit un appel qu'il redoute. 

Il fait partie d'une équipe de quatre agents chargés de surveiller le Président et la première dame à leur domicile de Wilmington, dans le Delaware. 

Contrairement aux autres agents, qui ont accès à l'intérieur de la maison, Cunningham est chargé de patrouiller à l'extérieur et d'arrêter tout véhicule empiétant sur l'alcôve de la résidence des Biden. Il a appris que Biden s'était isolé de peur d'attraper le Covid, car les membres de l'administration avec lesquels Biden était en contact étroit avaient été testés positifs au virus. Seuls Biden, Jill et deux agents "approuvés" pouvaient entrer et sortir de la maison. Il ne comprenait pas pourquoi il était relégué dans la cour alors que des agents moins expérimentés pouvaient entrer librement dans la maison, mais il était obligé d'obéir aux ordres. 
 

Un jour plus tard, Cunningham patrouillait dans la cour de la maison des Biden lorsqu'il a entendu un gémissement étrange et un appel à l'aide provenant d'une fenêtre de la chambre du faux Président. Il a appuyé sur la touche de son microphone en disant "quelque chose ne va peut-être pas avec Celtic", mais il n'a pas entendu de réponse. Celtic - le nom de code utilisé par les Services Secrets pour désigner Biden - était en danger, a-t-il déclaré en sortant son arme de poing et en pénétrant dans le domicile, en jetant un coup d'œil dans les coins et en faisant le tour de la maison. Il s'arrêta à la porte de la chambre à coucher de Biden. Il jeta un coup d'œil autour de lui, espérant voir les autres Agents ou Jill se précipiter au chevet de Joe. Cunningham ne voulait rien savoir. Comme personne ne s'est présenté, il est entré dans la chambre et a vu l'inimaginable. 
 

Jill Biden et le deuxième Agent des Services Secrets ont réprimandé Cunningham pour avoir pénétré dans la maison sans autorisation. Cunningham est resté bouche bée lorsque le médecin de Biden, le Dr Kevin O'Conner, est entré dans la chambre avec une seringue remplie d'un liquide visqueux qu'il a inséré dans le tube intraveineux qui s'écoulait dans le bras de Biden. "Candy", a dit Biden, un sourire se dessinant sur son visage alors que le liquide s'écoulait dans ses veines. Il s'est soudain redressé, a retiré l'intraveineuse de son bras et a déclaré : "Je vais mieux maintenant". 
 

Quelques minutes plus tard, Cunningham reçoit un appel du directeur des Services Secrets, James Murray. "Maintenant que tu sais, tu fermes ta gueule", lui a dit Murray, même si Cunningham n'a pas compris l'ampleur de ce qui s'était passé jusqu'à ce qu'un autre Agent lui révèle que Biden était dépendant d'un cocktail pharmaceutique appelé Adrénochrome depuis 2009. 
 

Cunningham a appris que la dépendance de Biden à l'Adrénochrome était devenue si aiguë qu'il avait besoin d'une perfusion régulièrement (tous les 2 ou 3 jours) pour éviter de sombrer dans la folie. Sans cette perfusion, il se ratatinait en une boule de folie incompréhensible. En faisant des recherches, Cunningham a appris que l'Adrénochrome était composé de liquide surrénal prélevé sur les glandes surrénales d'enfants torturés et d'opiacés synthétiques. 
 

Une semaine plus tard, il démissionne des Services Secrets, déclarant que le travail et le fait d'élever une famille sont incompatibles. James Murray l'a menacé ouvertement de ne rien dire sur ce qu'il avait vu au domicile de Biden dans le Delaware. Un mois plus tard, Cunningham a déménagé sa famille en Suisse. 
 

Cunningham dit qu'il n'en revient toujours pas. Il a vu un homme qui avait un pied dans la tombe se lever soudainement et danser une gigue après avoir reçu une piqûre d'Adrénochrome. Après avoir été témoin de ce qu'il a vécu, il a déclaré qu'il ne pouvait plus travailler pour le gouvernement. 

Lui et sa famille ne retourneront pas aux États-Unis tant que Biden ne sera pas parti et que le Président Donald J. Trump n'aura pas rétabli l'ordre complet dans la République. 

 

Par Michael Baxter le 17 mars 2023 : 
https://realrawnews.com/2023/03/of-biden-and-adrenochrome-a-secret-service-agents-story/

Partagé par: https://changera4.blogspot.com/2023/03/le-vrai-biden-etait-tres-dependant-de.html

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Voir également:

http://cristalain.over-blog.fr/2021/02/message-de-marie-madeleine-protegez-les-enfants-15/02/2021.html

http://cristalain.over-blog.fr/2023/01/adrenochrome-l-autre-nerf-de-la-guerre-par-black-bond-21/01/2023.html

http://cristalain.over-blog.fr/2022/10/halloween-la-fete-des-satanistes-la-secte-du-sang-trafics-rituels-et-sacrifices-humains-31/10/2022.html

Cristalain.