Après 15 ans, les responsables des attentats du 11 septembre 2001, bénéficient toujours de leur protection élitiste qu'ils croient inviolable !
(G. Chiesa)
Des fleuves d’encre ont coulé depuis à ce sujet : qui l’a fait ?
Quels objectifs politiques poursuivaient ses organisateurs ?
L’auteur de ces lignes a depuis toujours soutenu que les 19 « pirates de l’air » emmenés par Ben Laden n’auraient en aucun cas pu réaliser un tel plan.
Il existe une foule de preuves montrant l’implication dans cette opération de puissantes forces liées à différents services secrets, à commencer par certaines branches de la CIA et du FBI, de l’ISI pakistanaise, des services secrets saoudiens et ceux, très certainement impliqués, du Mossad israélien.
Ceux que cela intéresse peuvent se référer au site http://www.consensus911.org/ où un certain nombre de ces remarques et de ces incohérences ont été rassemblées ces dernières années par un groupe de spécialistes dont je fais également partie.
Et ce seul fait (sans compter que le FBI et la CIA étaient – et tout cela est prouvé – au courant de la préparation des attentats), montre que la Commission sur le 11/9 a livré une version mensongère de toute cette affaire, afin de couvrir les vrais responsables.
Voir aussi :
11 Septembre 2001 - Documentaire - Loose Change Version Finale en Français
https://www.youtube.com/watch?v=dC8UuDHBAiI
Suffisamment pour conclure qu’il s’est trouvé, le 11 septembre 2001, de puissants intérêts au sein même de l’élite américaine et des cercles dirigeants occidentaux désireux de couvrir les vrais protagonistes de ces attentats.
Le problème relève donc à la fois du niveau politique et de celui de la communication.
Et il est vital de trouver une solution avant qu’il ne soit trop tard.
Non seulement les organisateurs du 11-Septembre ont encore les mains libres, mais ils sont désormais en mesure de créer des dommages irréparables à la paix dans le monde.
Rappelons-nous qu’ils ont gagné la partie : la portée de leur action a considérablement changé le cours de l’histoire de la planète.
On a vu après le 11-Septembre toute une série de guerres sanguinaires (Afghanistan, Irak, Libye, Syrie) et de modifications du système des règles internationales : autant de changements motivés par la nécessité de combattre le « nouvel ennemi » de l’Occident, à savoir, l’Islam fondamentaliste.
Mais paradoxalement, au lieu de produire des résultats tangibles, elle semble au contraire étendre le chaos et le désordre dans à peu près toutes les directions.
Une théorie qui a poussé à considérer comme potentiels alliés des groupes affiliés à al-Qaïda, dans le but d’abattre le régime de Bashar el-Assad. Comme par hasard, cette même al-Qaïda à laquelle a été attribuée voilà 15 ans la paternité des megas-attentats contre le World Trade Center et le Pentagone.
La masse d’argent a pourtant été démultipliée de façon vertigineuse, à travers le mécanisme du « Quantitative Easing » pratiqué par toutes les banques centrales occidentales.
Au contraire, toutes les prévisions (savamment cachées aux yeux du grand public des investisseurs) indiquent que d’ici à 2020-2025, la croissante du PIB global s’approchera du point zéro, signant ainsi la fin de toutes les illusions sur la croissance économique si largement diffusées au cours de ces 10 dernières années, même si les faits montraient tout le contraire.
C’est ce qui explique la hâte (et aussi les signes de panique) avec laquelle l’Occident cherche à brouiller les cartes et à déstabiliser le monde en faisant table rase de toutes les règles qui avaient résisté pendant la Guerre froide.
Se répète ainsi le scénario qui précéda le 11 septembre 2001.
Quelques années auparavant, en 1998, le groupe de néoconservateurs emmené par Paul Wolfowiz avait produit un document intitulé « Projet pour un nouveau siècle américain » (PNAC, Project for the New American Century).
Le titre était déjà révélateur de la folie de ses auteurs : suggérer d’imposer au monde un autre siècle à domination américaine, sur une planète abritant plus de 7 milliards d’habitants, et où existent désormais des géants comme la Chine et l’Inde, équivalait à une déclaration de guerre contre le reste du monde.
Les auteurs néo-cons avaient parfaitement conscience de la violence qu’un tel projet nécessitait pour se réaliser.
Ils savaient – ils l’ont écrit – que la Chine, en 2017, serait devenue le concurrent objectif et non contrôlable dont il faudrait tenir compte.
Inversant les rôles, ils qualifièrent la Chine de « menace pour la sécurité nationale des États-Unis ».
Et ils se préparèrent à renforcer un différentiel militaire stratégique destiné à devenir toujours plus impossible à combler, pour toujours, pour n’importe quel État ou groupe d’États qui aurait eu des velléités de seulement s’approcher de la puissance de l’Empire.
Et de fait, les premiers signes de récession apparurent précisément en 2001.
La Russie – ainsi le pensaient-ils, et cela fut leur plus grande erreur – avait déjà été mise hors-jeu, conquise, colonisée culturellement et politiquement. Elle n’incarnait plus l’ »ennemi rouge » qui avait tant tourmenté l’élite américaine au cours de la Guerre froide. La Russie ne pouvait plus être considérée comme un concurrent potentiel.
Comme l’écrivait Gore Vial, « quand les Russes nous ont frappés dans le dos en abandonnant leur empire en 1991, nous sommes restés sur de fausses idées sur nous-mêmes, et surtout, bien plus grave, sur le reste du monde. »
Il fallut donc créer la menace de manière parfaitement artificielle.
Et ainsi fut-il fait.
Cela peut sembler étrange, mais ils le déclarèrent ouvertement.
Rappelons-nous des paroles de Zbignew Brzezinski prononcées en 1997 : « Il faut prendre en considération le fait que l’Amérique est en train de se transformer toujours plus en une société multiculturelle, et en tant que telle, il peut devenir de plus en plus difficile de créer le consensus sur des questions de politique étrangère, à moins d’une menace ennemie énorme, perçue directement au niveau des masses. »
La prévision d’une Chine hors de contrôle était la bonne.
Mais il fallait un ennemi tout de suite, sur-le-champ. L’Islam fut servi sur l’autel de toutes les Nations comme cet « ennemi ».
George W. Bush et son ministre de la Défense Donald Rumsfeld clamèrent devant les micros et les caméras de tous les grands médias que « venait de commencer une guerre qui allait durer toute une génération » (Rumsfeld parla même de « 50 ans »).
Les premières 15 années de ces 50 ans viennent de passer.
Et personne ne peut nier que la situation mondiale est en train de dégénérer.
Ce qui est le plus insupportable pour les cercles de pouvoir américains, c’est de voir réapparaitre la Russie comme protagoniste sur la scène internationale. Dans les prévisions – erronées – des néo-cons, la Russie avait été mise définitivement hors-jeu.
Et cette erreur de calcul a rendu problématique le reste de leurs plans. Ils pensaient qu’une fois la Russie écartée, il y aurait eu assez de temps pour s’occuper de la Chine et en faire le nouvel « Empire du Mal », à la place de la Russie.
Et tout aussi fausse fut l’idée qu’il suffisait de fabriquer de l’argent de toute pièce pour résoudre le problème.
La 7e année fut 2008, et il fallut 13.000 milliards de dollars inventés de toute urgence par la Federal Reserve d’Allan Greenspan, pour sauver de la faillite les banques occidentales.
Et comme nous l’avons déjà rappelé, les dernières 8 années ont vu s’établir le règne du chaos.
Voilà pourquoi l’Empire se trouve à nouveau devant la nécessité de compacter son système d’alliances, exactement comme il le fit à travers les attentats terroristes de 2001.
En 2008, le stratagème consista à déstabiliser les « petits ennemis » et fut confié à Barack Obama, qui le réalisa à travers la multiplication des « révolutions colorées » et surtout, l’usage des « printemps arabes » destinés à faire place nette de tous ces régimes devenus inutiles ou gênants au Moyen-Orient.
Et il faut bien reconnaitre que cette opération stratégique a fonctionné, mais uniquement dans le sens d’encore plus de déstabilisation globale.
C’est de nouveau la peur qui a prévalu. La crise fait rage, et à l’Est on voit poindre deux « ennemis », la Russie et maintenant la Chine, le grand « pays du milieu ».
C’est ainsi que s’explique le coup d’État en Ukraine, la destitution de Janukovic par les groupes nazis et ultranationalistes russophobes depuis longtemps formés et entrainés avec l’aide de la Pologne et des républiques baltiques.
Vladimir Poutine n’est pas tombé dans le piège et les Russes d’Ukraine – pas tous, mais une bonne partie – ont trouvé la force pour se défendre.
La Crimée a choisi de « revenir au pays ».
La Russie et Poutine sont les « véritables ennemis à abattre. »
Comment ?
Ce sera à Hillary Clinton de résoudre le problème.
La confrontation directe est en cours de préparation.
Mais tous à Washington ne sont assez pas assez suicidaires pour la déclencher.
C’est un pari qu’ils pourraient bien perdre. Et l’Europe est en pleine ébullition, au point qu’elle pourrait bien exploser avant.
L’Empire lui-même est profondément divisé.
Donald Trump a très peu de chances de gagner les élections, mais sa présence montre à quel point le peuple américain n’a plus aucune confiance dans ses élites (Ndlr : Il a promis de dire la vérité sur le 11 septembre s'il est élu !).
On pourrait appliquer à l’Amérique le dicton latin « omne regnum in se ipse divisum desolabitur » (tout règne, lorsqu’il est divisé en son sein, finit par s’écrouler).
Giulietto Chiesa, août 2016
Ancien député européen qui a écrit "Zéro" "Pourquoi la version officielle sur le 11 Septembre est fausse", un ouvrage collectif élaboré avec un autre de ses collaborateurs édité en film.
Source :
15 ans après les attentats du 11 septembre 2001, Odoxa a mesuré l’impact des théories conspirationnistes.
• 66% des Français considèrent que l’on nous a caché des choses sur les attentats du 11 septembre 2001
• 45% des Français pensent que l’on ne connaît pas vraiment les responsables de ces attentats
• 28% des Français estiment que le gouvernement américain a été